obtenir la victoire “sur : les entreprises o- force sur le droit”.
*: Dieu tout-puissant et miséri- cordieux, daignez jeter un regard de bonté sur votre peuple, pros- l'ilerné devant vous pour implorer
votre clémence et demander vo-
Nous déplorons, en présence de votre divine Majesté, toutes les fautes commises contre vos sain- tes lois. Nous vous en conjurons,
vêques|pitié de nous et donnez-nous la
blement, à Dieu de bonté, ayez
victoire. Donnez surtout à l'hu- manité la victoire du droit sur la violence, la victoire de la justice sur l'iniquité, la victoire de ln charité sur l'égoïsme, la victoire de vos droits divins sur les usur. pations sacrilèges.
O Murte, secours des chrétiens et reine de La puix, vous qui tant de fois avez accordé à notre pays votre protection maternelle, por: tez noire suüpplication jusqu'au trône de votre divin Fils.
Saint Joseph, patron du Cana- da, glorieux Martyrs canadiens, intercèdez pour nous auprès de Dieu. Obtenez de sa miséricorde qu'il daigne soulager In. misère du peuple, qu'il ait pour agréable ses sacrifices et-ses prières, êt qu'il, lui donne ‘onfin, ayec là paix du Christ dans'la justice et dans la charité, le bonheur et la
prennent ace}.
| Conseil privé, “oseg ge
la pr ; l'état-major m ire du district de Montréal (le néral E. de B. Panet ayant au- ravant. déposé une couronne oeillets rouges Au pied de la de: sainte Jeanne d'Arc). s délégués des associations ca- nadiennes.françaises d'Ontario et ge. l'Ouest, ceux de YAcadie, les membres corps profession- nels, des res de commer- ce, des syndicats et unions ou- “rières, de la-Croix-Rouge et des services de guerre, les représen- 'fants, même de nos petites éco- les _ paroissiales; les, Chevaliers Su Saint-Sépulcre, de l'Ordre de MS:int-Grégoir:, de Saint-Sylvestre MMormient ‘un Carré de mantes lanthes avec croix rouges, en vant de la chaire.
Les sociétés canadicunes-fran- taises sont toutes représentées. Dfficiers d'armée, scouts et jocis- es en blotise blanche font office 'ilé placiers. Les supérieurs de minunautés cet les religieuses ont en grand norübre. 1 fin, par:une pensée délicate, forganisation # mis au nombre ses invités les épouses des of- tiers servant outre-mer, et
soir plusieurs dé ses personnages
: " 2 (tPar courtoisie pour le repré-
#atunt officiel du Roi et pour \niscopt, lef portes de Notre- oht été fermées avant 9 h. S.'A de moment, précédée du M uuisse à tricorne et de soixante Ml officiers, Son Eminenre remonte M ‘Jullée centrale, sous le soleil des ,réfiecteurs, bénissant à droite et gauche, à Quelques minutes après, pré- DA, cédé de la même garde d'honneur s militaire, le lieutenant-gouver- D Meur, sir Eugène Fiset fait son éntréé solennelle, accompagné de A irdy Fiset, Tous deux vont pren- dré placé à des prie-Dieu d’hon- À cr devant la sainle table.
Le drame de ia Messe
Après leé premiers accords du AGod Save the King, les prépa- ratifs de la inesse commencent vec é dans le,choeur,
Au pied du grand: aulel, le drame de la niesso se poursuit tément, souligné par le chant rès religieux de la Schola Canto- m du Grand Séminaire: Les rândes @rgues, après {es pièces lennelles de l'entrée et les ac- roms du Got Save thè King, ne nt.plus devenues qu'un acecom-
ciers qui se re “i Phôotineur: 7" :
liège MacDonald, le conseil mu | al compile les délégués ae ie de te province, i-
Le Canon de 14 messé se pour-| RE. ; suit. Ba foule suit l'office dans RER
le magnifique lvret-missel ‘dis: , Prononçant: tribué à tous les invités.
Le maitre-autel est décoré de palmes, pour symboliser la vic- toire. De chaque côté du sanctuai- re, au-dessus des ‘stalles, s'incli- nent les drapeaux des anciens | Excéllentissimes "Seigneurs; régiments canadiens-français (car| Honorables Messieurs, . de Notre-Dame sont partis jadis Mes frères, pour la gloire nos Zouaves et no- : ; tre 22e, et hier nos unités actuel- v = sn 2 ps inoue es S les d'outre-mer); le tricolore y League rié … ;: A s MS de idée. ; e de prière recomman en
‘à + notre province par le: Lieutenant
Autour du cardinal, assisté par | je Sa Majesté le Roi. Pendant que trois aumôniers militaires, vingt-| nous sommes à genoux implorant cinq servants séminaristes évO- | Dieu, au nombre de plusieurs mil- luent avec dignité. û liers, dans ce temple centenaire,
Après la Communion, le baiser|5n accomplit dans quinze cents de paix est transmis de l’officiant | orcisses les mêmes rites sacrés, aux prélats, et de stalle en stalle,| on prononce à cette heure les en passant par l'archimandrite | ges formules et aux mêmes in- coiffé de son bonnet carré noir.|fentions. Bien plus, le payé tout
entier est aux écoutes, uni à notre prière, l'Angleterre «et la
C'est ensuite dans un silence | France jetlent sur-nou$ en ce mo- plein de gravité, que les 5,000 fi-} ment un regard de foi et d'espoir: dèles d'élite ont entendu Son| Car, pourquoi : prions-nous? Eminence le cardinal Villeneuve, |“En face des malheurs présents revêtu de sa cappa magna et|qui sffligent le monde, — pro- parlant de son trône, expliquer | fonçaient Nosseigneurs les Evè- pour eux et pour le monde aux|ques il y a quelques mois, — et
Riscours de Son Eminence
dictateur et l'Holopherne de l’An-|ce désastreuse, que tous purifient
[Pétain et du général de Gaulle, rendre hommage à notre glorieux | 22e Régiment et à nos soldats| d'aujourd'hui. au fier peuple d'Al-
Au temps de Nabuchodonosor
Or, il est raconté dans les livres à À eue : aints (Judith) qu'au tem s | bion et STARS dire notre | Vies — AL die. | reconnaissance envers les Etats-|° Vapeur ue ge La “ut sant appelé N - Unis et envers leur président, et [ORSE vpnea Pe nues faire une place parmi tes nations: | après S voir hi de nai | ” A 2 “vrai 2 4 L 7 me qe pe sénh Haleslres victoires, invita \orgueilleuse- | de Li has » se !ment les peuples à se soumettre | en E e fou: € ed var um ns [à sa domination. Sur leur refus, | Son Eminence a défini le sens |: d ve , de la grande Journée dè prière! il entra dans une grande indigna- non seulement pour la paix mais re pu a - teus L catrepeil | pour la victoire. À Mir sg FAsent Passe try ad] da. ve s ] À sien s ü ’e ” 4 ë se e ses! | PL CPE \ snersiques | officiers de guerre, äl leur com-| et si justes, le F. H. M. Ernest La-| ) d nd x . . : 2 L > > seccre À B H - pointe, que Son Eminencé a pré- | Je Le Pré pe mr og senté elle-mê or e “le pre- de y Made » cu "| ; SRE IRENET COR “le pr isujetlir à son pouvoir toute la! mier ciloven de notre foi cafho- terre. TS l'approuvérent 14 lique et de notre race française hd dy otre . NP. er nçarse |enivrés de son fol orgueil, Et il dans le Dominion”, s'avance au envoss Holopherne. général à | pe de l'autel pour lire la magni- ses troupes à lui ‘disant ! ‘Allez! ique prière pour la paix. ù # 3 ! a La messe pour la victoire fut altaquer tous les royaumes d'Oc: immédiatement suivie de la pa- ECS rade militaire. Plus de 5000 mi- litaires ont pris part à ce défilé, où toutes nos armées étaient re- présentées. Face au parvis de Notre-Dame, sur la Place d'Ar- mes, on avait construit une vaste cstrade. Son Eminence le cardinal Vihe-
|
Tremblay, inspecteur général de! l'armée pour l'Est du Canada: le brigadier-général FE. de B. Panet, commandant du district militaire No 4: le commodere de l'Air, E.-
Marine à : Montréal,
curent le}
Discours deS.E.leC
cident, maïs principalement ceux qui ont méprisé mes ordres. Vo- tre ocil n'épargnera aucun réÿau- me, et vous vous emparerez de toutes les placés fortes. Uné armée innombrable se leva aus- sitôt, dés provisions et des mu- nitions marchèrent devant lui, et le blé fut -parlout réquisitionné pour - les bataillons à mesure qu'ils: avanctraient, Le général s’appropria des sommes immen- ses d'or et-d'argent. Et il partit, lui:et toutes ses troupes, ses cha- riots, sa cavalerie ef $es archérs, ils couvrirent la terre comme des sauterélles. Îl franchit les con- fins des pays, il entra dans tous les châteaux, il se rendit maître de toutes les forteresses, il prit d'assaut les villes célèbres, il il pilla tous les foyers, et descendit dans les champs au temps de la moisson et-en brûla tous les blés, il fit couper tous les arbres et toutes les vignes, et passa au fil
de vous. Nous serons vos escla-
|ves, nous cl nos enfants,
Aujourd'hui?
Mais. sommes-nous bien, mes
frères, en Assyrie, en Médie, en
Mésopotamie, et avant la nais-
{sance du Christ? Ne jetons-nous
pas nos regards en. Europe cén- trale, en Europe occidentale et
dans les Balkans? Est-ce bien de |
Nabuchodonosor et d'Holepher- ne qu'il s’agit, ou bien d'autres noms que vous avez sur les lé-
|vres? N'esi-ce point quelque co-
#onne des journaux d'hier que je viens de réciter?
Un petif. peuple, pourtant, atta- ché à ses foyers\et P%es autels, va se tiresser en Pfce de l'enva- hisseur et de’ses comparses. Ce n'étaient point alors les Grecs. maistles enfants: d'Israël, qui craignirent souverainement de tomber sous la puissance d'Holo- pherne/Sapprébendant qu'il ne fit À Jérusalem et au temple du Seigneur ce qu'il avait fait aux autres villes et aux autres tem- ples. Voilà pourquoi ils se saisi-
rent de tous les hauts des monta- | W + McEwen et le commandant | gnes et mirent des corps de garde | Cd. Stewart, ler officier de ta! dans les défilés par où on pou-|fanterie légère a été consigné aux jre fédéral employé au rapatrie- |
casernes, à la slite de rixes avec |
vait y entrer,
VICHY = Le maréchal Philip- pe Pétain; en nommant dimanche Remi ar Darlan, son bras , vicé-preinier et mi- nistre des affaires ‘étrangères, a gagné une: bataille de nerfs con- tre Pierre Laval,
* En rejetant les conditions de Laval et en donnant à Darlan, en plus du ministère de la marine, les postes, -détenus. par: Laval avant sa disgrâce, Pétain a ignoré le fait que l'Allemagne est der- rière Laval et que la rupture des relations franco-allemandes peut se prolonger tant que Laval n’est pas réinstallé:
n ta 4 ! L'amiral Darlan a été nommé
successeur du maréchal Pétain en cas d'urgence, ce qui semble é- carter définitivement Laval,
Pierré-Etientie. Flandin a dé-
mème quatre petits réfugiés an- ge le cr And notre Journée! ont Jes contrecoups peuvent |de l'épée tous ceux qui parais-|missionné comme ministre des gais. e mi € apres avoir fait des! exercer sur notre vie religieuse, | saient vouloir lui résister, affaires étrangères - et * Marcel & Le Canada anglais, on plus d'a-|'""PProchements bibliques avec le !sociaie et nationale une puissan- Alors les rois et les princes | Peyrouton, ministre de l'inté-
tout ce qu'il demandait: la direc- tion d'un cabinet de ‘son choix et le droit de nommer une assem- bléc nationale de son choix de- vant laquelle seule il serait res- ponsable, On croit que l'Allema: gne n'’insistera pas pour que La- * obtienne pleine satisfaction.
Lé gouvernement ainsi remanié avec Darlan comme vice-prési- Es est-considéré ici comrie
temporaire, en attendant la fin des négociations avec Laval, ou plus exactement avec l'Allepna- gne. Pour le moment. j’amiral Dar- lan et le général Huñtziger gou-
| Américains dans les | armées britanniques
LONDRES — M. Robert Hut- ichinson,-président de l'American | Eagle Club, un corps d'aviateurs ides Etats-Unis qui combattent
claré que de 6,000 à 8,000 natio-
iles armées britanniques. <a sas
% ge . 8 .
pour la Grande-Bretagne, a dé-|Charetle eommie un des chefs de
|naux des Etufs-Unis servent dans ! çaise, M. l'abbé Labrié souligna
QUEBEC — Un régiment d'in-
Seigneur,
vous qui
| votre toute-pui
manifestez te-puissance en pardon-
prospérité. Ainsi soit-il,
w
13.
‘| ver.
vernent la nation, sous les ordres du maréchal Pétain, Darlan s’oc- cupe de l’intérieur et des affaires étrangères; Huntziger a le minis- tère de Ja défense nationale, bien que Darlan ait encore son mot à dire dans la marine.
strong.
Flandin se sacrifie comme l’un des trois hommies que Laval esti- me ses principaux ennemis dans l'affaire de .son renvoi. Les deux autres sont Alibert, ministre de la justice, qui a déjà démissionné, et Péyrouton, qui sé prépare à le | faire.
QUEBEC — Lors de Ja soirée |
çais du Manitoba, qui a parlé du les métis canadiens-français du pour donner à l’au- ditoire très intéressé, un exemple langage de cette population de la Société du Parler français, | originale, il raconta avec l'accent |présidait la soirée à la droîte del pittoresque d'un témoin qu'il a Louis présidence | 1936, le massacre des pères Fa- {fard et Marchand et de sept au- On remarquait au preinier rang|tres blancs à la mission du lac
groupe métis français de FO. | . M. l'abbé Aimé Labrie, secré- taire de l'Université et président | du
{Son Eminence le cardinal-arche- connu, vèque, qui avait la d'honneur de la manifestation.
Mme A, D, Ca
€. Malone, dé Toronto. NH LE Mo de Time
! Manitoba et,
awa,
se
où il
Goulet,
des invités officiels: Son Excel-|la Grenouille, en 1885.
| lence Mgr F.-X. Ross, évêque de +Gaspé: Mgr Camille. Roy, PA,
Inio Langlais, CR., président de | l'institüt Canadien? LM: Henri |
ressée
vice-recteur; M, Ff'abbé Antoine d'Eschambault, chancelier de dio- |
sieurs autres personnalités, conflit.
M. Charette En présentant M. Guillaume la survivance - canadienne fran-
| la beile carrière du distingué con. (férencier, combattant blessé à la} | dernière guerre, puis fonctionvai- |
Iment des Franco-Américains et | pela,
des agents,
d'une
qui
Le massacre du
voix
ne
d’Armstrong, en
PRE
‘| Winnipeg, pilote dé l'avion, : C. E. Lloyd, de Winnipeg, pre- mier officier et co-pilote. ‘ L. E. Davidson, de Vancouver. Mlle M, G. Wayne, de Winni- peg, hôtesse,
Les dix hommes et les. deux femmes ont été tués instantané- ment. L'avion s'est écrasé sur le sol en tentant d'atterrir à un aé- rodrome d'urgence, près d'Arm-
Au moment de l'accident, une violente tempête de neige souf- flait sur la région, L'avion a été retracé par un autre appareil.
On a rapporté qu'il n'avait pas été incendié, ce qui démontre que le pilote a eu la présence d'esprit de rendre le moteur ininflamnra- ble au moment qu'un écrasement était inévitable.
M. Guillaume Charette l'un des orateurs à la soirée annuelle du Parler français
comprit
S D Borge ' | de toutes les villes et de toutes |rieur, en fera autant d'ici quel-| je du Parler français, l'un | dù Canada @n vue parmi les délégués des|cien Testament et ceux de notre |jeur coeur, lèvent les bras au | les provinces envoyérent des am-|qués jours. L'élimination' de ces! je Crateurs vs été M à flidine d'Etat royé "a | époque, citer Sa Majesté le roi}ciel, et. par la force de leurs | it ‘ie + ll inist t dée com: | {+ «de Kb LT :
d Etat, a envoyé jusqu'à G YI et lord Halif passe: ae UrS 'bassadeurs lui dire’ Cessez de|‘eux ministres est regardée COM: | Chiétte, de Saint-Boniface, mem- | torique des origines des offciers de l'Armé» du Salut. | eor8e eU lord Hallax, rappe- | prières calment le courroux divin |fyjre écl { rot lé mé nécessaire pour le retour de | Te is ; PE pr : ,
" à [ler à la fois avec le souvenir ému | et attirent vers la terre les flots aire éclaler votre colèré. Que Laval bre de l'exécutif de l’Associationr | nota le fait remarquable de l'as- » “eu | » | » , si 2 A , ati du f'éocat, _laimituti we 24: ‘ LE Entrée solennelle | de la France les grands noms de | je la céleste miséricorde”. |lout ce que nous avons dépende CS dunlss diehe de s|d Education des Canadiens fran-|similution- des métis anglais par
mort
|. Ce massacre eut lieu au cours | des coinbats entre les bandes in- | | recteur de l'Université; Me Anto- | diennes et les colons métis avec les agents de la police fédérale, connus sous.le mom de Bonnafous, consul de France; M. des Métis, I ressort de ce récit Adrien Pouliot, doyen de la fa-!très vivant que l'entremise inté- — |culié des‘ sciences de l'Universi- té; le chanoine Cyrille. Gagnon, | daient pas aux Métis ou aux {n- | diens ce que le gouvernement fé déral votait à ces alliés du Cana- Icèse de Saint-Boniface, -et plu-}da, {ut la principale cause de ce
Révolte |
ren-
| Grenouille eut lieu le Jeudi Saint, | 2 avril 1885, et fut exécuté l'a- près-midi-par les homibes du chef | à amorcer la réforme et l'assai- | Gros-Ours, au cours d'une danse ! nissement |macabre dont le trappeur métis | rant.
n n ! D |Gonlet avait gerdé un souvenir! M rabbé Walter Moule, préfet terrifié après cinquante ans.
Appel au Québec En terminant, M, Charette ap- :très délaillée des principales fats- pathétique
en
Canada, depuis l'inauguration de son service le 1er avril 1939. Air- Canada a transporté à date 81,000 passagers el ses avions ont fran- chi 8,165,000 milles depuis. l'éta- blissenient du service régulier transcontinental, " me
$113 millions pour l’en- trainement des aviateurs OTTAWA -— À une conférence
aviateurs.: D'ici la fin de l’année, on dépensera. vingt autres mil- - Hions
exigeront un nouveau. 4
tout une somme de #113,060,000, a
Victoire créditiste en Alberta
EDMONTON — Un cultivateur de 4f ans, C. I. Sayers, a conservé le comté provincial de Camrose aux créditistes, Il a triomphé de son adversaire coopératiste, C, A, Ronning, chef de ce parti en Al- berta, L'élection partielle s'est faite sur la conférence d'Ottawa, qui devait étudier le rapport Si. rois,
La Chambre albertaine se com- pose désormais de 36 créditistes, de 19 indépendants, d’un libéral, d'un travailliste, soit un total de 57 députés,
des passeports pour tout l'Ouest |ce au secours des minorités cana-
|diennes-françaises de l'Ouest, af-
M. Charette fit d'abord l'his-|firmant que la solidarité est la métisses, | verlu qui nous sauvera, pourvu
que nous sauvegardions notre si- [tuation au sein de Ia Confédéra- Ltion el sous l'allégeance-britanni- | que qui garantit nos droits his- Itoriques par des traités et une icon-illution, Puis le représentant | de la fière et fidèle race métisse
Ftermina, aux applaudissements ide l'assistance: “Nous vous de- mandons encore cinquante où
soixante ans d'aide; aprés, c'est [nous qui ramerons!*
| M, l'abbé Labrie
Dans son allocution d'ouvertus ré, M. l'abbé Labrie rappela l'oeu- vre des anciens présidents de la
Société, puis: il énonca le, pro: gramme de la société du Parler
français en ces térmes: faire que notre parler devienne -clair, pur de tout alliage, en un mot, une lauguc adulte”. Après avoir cité Îles propos pessimistes de l'histo rien Gurneau et d'Arthur Buies, il évuméra les récents travaux de traduction et d'épuration du lan: gage qui ont beaucoup eontribué
la
de notre parler cou
Ldes éludes au Séminaire de Nico- Îlet, présenta ensuite une étude
etites qui se cormettent ay collège
Don à LE ni adouci du chant gré-! neuve, lé major.général ut des'troupes, (Suite à la troisième page) |la police, samedi soir, maintenant en charge du service | simple à la fois, la vieille provin- contre la bonne jÿfonbnciation. Fo ! s + } < _ 4 * \
dé presse, M. C.-G. Power, minis- . L Q
au programme d'entrainement des.
de #46,000,600, ce qui fera en
; grande catastrophe à | de l'aviation au Canada
. Douïe personnes, dont cinq de} C'est le premier accident d’Air- ont perdu la vie dans la chute d'un avion d'Air-Canada, à un mille au sud ‘|Ontario. Les victimes sont: lieutenant-commandant H.- "21 arlowe, “| Le professeur R. McQueen, de *F Winnipeg. re
Pt Le major à F. Freer, de Win- "É C. Manning, ‘de Vancouver.
ù
écoulés depuis l'émission de sa
* . première police, la Sun Life of Canada à versé en vertu de.ses contrats $1,389,808,553.
CHAQUE JOUR OUVRABLE DE 1940, des assurés et des bénéfi- fait un total de $94,173,482 pour l'année. De ce dernier montant, 73% sont allés aux assurés eux-mêmes, le reste ayant été versé à des per- sunnes dont, les ‘assurés décédés étaient les soutiens.
Les nouvelles assurances émises durant l'an- née ont atteint $169,508,809 et porté le total des assurances er cours à $2,963,708,831.
+ + . Le nombre des polices actuellement ei vigueur (y compris les certificats d'assurance de groupe) dépasse un million deux cent mille.
. « . L'actif total s'établit maintenant
1 $950,794,366, le plus haut point qu'il ait attei
| depuis la fondation de la Compagnie.
On obtiendra le rapport annuel complet en s'adressant comme suitt
J. E. YARNELL, C.L.U,, gérant de succursale Winnipeg
Immeuble Lindsay -
LONDRES — Les forces nava- |( libres” ‘secon: |
les des “Français
dent activement la tâche de la Grande-Bretagne. La marine mi- litaire, sous les ordres du vice- amiral Emile Muselier, comprend à elle seule plüs de 100 navires: cuirassés, destroyers, sous-ma- rins et autres unités plus petites.
Quant à la marine marchande, elle compte un tônnage total de 400,000 tonnes. Les bateaux fran- A ST UUNS n ee à ports: : eterre et O- minions ont été immobilisés et désarmés, à la suite de la capitu- lation de la France. Puis ces ba- teaux ont repris le service pour le. compte de l’Amirauté britan-
VICHY, France — Les derniè-
tres troupes ‘françaises, qui s'é-
taient réfugiées en Suisse, devant l'invasion allemande, ont gagné la France, On établit à 28,000 le nombre de ces Français, | Il reste cependænt des éléments “nonfrançais” sur le sol suisse, en particulier des Polonais.
Les rapatriés appartenaient à la 45ème armée, que commandait le général Laure. Elie formait l'aile de l’extrême-droite et fut enveloppée par les Allemands. Le général Laure, fait prisonnier pendant que 28,000 de ses hom- mes passaient en Suisse, a élé re- lâché après quelques mois pour devenir le secrétaire général du maréchal Pétain.
Avertissement divin
BELGRADE — Un journal you- goslave Die Donau (Le Danube), rédigé én langue allemande, voit, dans les tremblements de. terre qui ont secoué la Roumanie l’au- tomne dernier, un avertissement divin contre l'effrayant paganis- me de l'ordre nouveau impôsé dans le pays par l'Allemagne na- zie. Le journal s'en prend vio- temment aux efforts que tente le Ile Reich pour caporaliser les Allemands catholiques de Yougo- slavie. ‘4. HE
Les secours arrivent
MILAN — Duns la dernière se- maine de janvier, l’Allemagne-a- vait déjà envoyé 18 divisions à titre de renforts à ses alliés ita- liens, Ces troupes considérables sont quelque part en Lombardie.
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A'auitter le pays après avoir orga- nisé maints sabotages dans les usines de munitions américaines,
Allemagne à Blitskrieg, il y a un siècle IENA — L'une des philips raisons de la haine solide it- ler a vouée à Par Cooper. tient dans - que dans son “excellente biogra- phie de Talleyrand, parue en 1932, l'actuel ministre de l’In- rm de Grande-Bretagne a r un. commentaire sur. l pen Ni tPRen
par : parte." ment.
historien: “La puis- prestige que lui avait donné Fré- déric le Grand, était réduite en poussière (crushed to atoms) sur
les champs de bataille d'Iéna et d’Auerstadt”, (14 octobre 1806).
ALBANIE
Une flotte pour le beau temps
TIRANA — Le poste‘officiel de l’Albanie italienne, commentant dans une émission en Jangue
grecque la récente attaque de la |
flotte britannique contre le port albanais de Valona, a dit: “La flotte britannique a délibérément choisi un jout-où la température était mauvaise, afin d'éviter la désägréaäble surprise d'une ren- contre avec la flotte italienne”,
Six mois de guerre
ROME — Du 10 juin au 10 dé- cembre, l'Italie prétend avoir perdu 18,824 _ combattants, dont 4,531 tués. Les pertes subies au cours de l'agression avortée en | Grèce et pendant la terrible guer- re-éclair du général Sir Archi- bald Wavell centre les Italiens en Afrique du Nord ne figurent
-incisif |.
s'exprime, dans son beau livre, M. |: |Duff-Cooper.
geant l'oeuvre
M. Emile Pelletier est rendu à Camperville pour. y enseigner : roisse qui mérite tout notre en- courâgement. Nous le félicitons de sa, nouvelle position. LRb Er)
ry, Yvonne Boulet. Louise Bédard.
ment, Denise Rocan. 3
GRADE VII Florence Savard, Thérèse Nadeau.
GRADE VI — Aline Tétreault, Herrance Gauthier, : GRADE V — Yolande Clément, Fernand Balcaen. k
GRADE IV — Paul Rocan, Eloi- se Gagnon.
GRADE III — Cécile Clément, Jeannine Laurencelle.
GRADE II (a) — Marie-Thérè- se Rocan, Denise Normandeau.
GRADE Il (b) — Léo Clément, Odile Beaupré; Lucien Rocan.
GRADE I — Marie Beaupré; Paul Tétreault.
Cours préparatoire — Jeannine Millier, Jeanne d'Arc Boily.
Sainte-Anne-des- Chênes
Baptême Le 26 janvier, Louis-Joseph- Lionel, enfant d’Alphorse Vandal et de Célestine Proulx. Parrain et marraine: Louis Bélisle et Ali- da Vandal.
Décès Le 25 janvier, s'éteignait, à l’à-
pas dans eette statistique. Turquie Les tarés
ANKARA — I] y a vingt-cinq | ans, Franz von Papen, ambassa- deur actuel du Troisième Reich à Ankara et le maitre-intimida- leur des Balkans, était ignomi- nieusement chassé de Washing- ton pur le gouvernement nêutre des Etats-Unis, pour “activités louches:et de nature à compro- mettre la neutralité du pays”, Von Papen occupait à ce moment-là (décembre 1915), le poste d’at- laché militaire à l'ambassade al- lemande à Washington. JI dut
Cas obstiné de
ge de 82 ans et 3 mois, Marie Payette, épouse de feu F.-X. No- lin. Elle n'a été que quelques jours malade.
Son service eut lieu le 28. Les porteurs furent: MM. Alex. Bé- riaut, Frd, Bériauit, Siméon Prairie, Alvida Colette, Jean-B, Huppé et Alph. Delorme, Mme Nolin était dame de Sainte-Anne depuis nombre d'années.
Lui survivent: son fils adoptif, Andrew Blair, de Sainte-Anne;
Mme Herman Swandon (Marie- Délima Cashawa) et Mme Tho- mas Andrew (Emérentine Casha- wa), les deux demeurent à Win-- nipeg: un gendre, Champagne, de Thibaultville; une petite-fille, Placidie Cashawa, de Winnipeg Mme Nolin fut, pen- dant quelque temps, ménagère de Mgr Taché, à Saint-Boniface, Veillée d’adieux Upe-quarantaine de parents et
constipation
Ceux qui, jour après jour; gardent | une masse d'impureté dans corps, au lieu de l'évacuer, comme le
toutes les vingt-quatre heures, souf frent invariablement de constipa tion. e
L'emploi de purgatifs violents et bon marché ne vous guérira päs; ils aggravent simplement je mal, nuisent aux metnbranes délicates des intes- tins et prédisposent aux hémorroïdes
Si voûs êtes constipé, prenez des
lturéllement. Elles n'affaiblissent
pas, ne rendent pas malade et ne don | nent pas la ecnlique, comme Île font | nombre de purgatifs.
The T. Milburn Co. Lid., Toronto, Ont.
leur t
veut la nature, au moins une fois!
pilules ‘* Milbura's Lasa-Liver'" qui! foront fonetionner vos intestins na |
amis se sont réunis, il y a quel- ques jours, chiez M. et Mme Ar- thur Boucher pour les remercier |de leurs bons services dans 1e paroisse. Un cadeau” substantiel— | deux-couvertures de lit, — fut of- Ifert et présenté. par leur petite- fillé, Myrna Boucher, 3
tent après avoir passé une tren-
taine d'années à Sainte-Anne; ils
vont demeurer à Saint-Norbert. L2 L2 .
| Tsbleau d'honneur de janvier GRADE XH — Lncille Maurice, GRADE Xli-—Jrène Fehre, Thé- rèse Desautels, Alice Benoit, Lau- rette Frudeun, ‘ | GRADE X—Helena Braun, Gé-
de la Coopérative
(GRADE X1 — Blanche Gabou- |
GRADE X — Florence Rocan,| |
Raymond | à
| M. et Mme Boucher nous quit-
Bosseres
dans ord de l'Ontario. 1
l'Ontario. 11 ne nous res-
ne veulent rien tous font leur devoir.
” 1 | = HEURE UE —__
chemins, surtout quand i et qu'il faut passer de Larochelle à Morris. Depuis un an, les gens de Dufrost se félicitent d’avoir une bonne route. La semaine der: nière, un. groupe important de citoyens de Morris, de Sainte-Eli- sabeth et de Saint-Pierre est allé Dihomatrèr le ministre des Tra- aux Publics, M. Willis, pour lui demander de graveler le chemin entre Dufrost et Morris, et cela dans un avenir tout prochain.
M. Edmond Préfontaine a bien voulu se faire l'interprète de la représentation. Avec la délica: tesse et le tact qu’on lui connaît, M. le député fit ressortir l’impor- tance de la route projetée et l’à- propos des raisons - énumérées dans une requête signée par 250 citoyens de la région. M. le dé- puté a droit à nos félicitations et à nos remerciements pour avoir aussi bien exposé notre si- tuation.
De son côté, M. le ministre s'est montré très sympathique, H nous promit la coopération du Gouvernement, Il reconnut la né- cessité de finir la route Dufrost- Morris. 11 ne fit pas de discours, mais il posa plusieurs questions qui prouvaient bien son intérêt à notre requête, It promit de s'in- former du coût exact de cette en- treprise. 11 demandera aux muni- cipdiité de Saint-Pierre, de Mont- calm et de Morris dans quelle mesure elles peuvent contribuer au gravelage de la route, et, mal- gré la difficulté des temps, il fera tout en son pouvoir pour se rendre à notre requête, Âu dire des gens d'expérience, nous
sen, J. Stevein, H, Friesen, M.
de Sainte-Elisabeth. ) Au sortir de l’entrevue, tous. se
déclarèrent très contents de leur député et enchantés d'avoir pu Teauser tout.à l'aise avec M. lé mi-
Ta Maison Saint-Joseph pour for-
autres ni pour |
pleut |
A, sr, G. Braun, D. Nichols,
nistre. Demandons ensemble et travaillons ensemble gt nous réus- sirons. RENE
7 222 ———
Otterburne
Mile Rose Robidoux, fille de M. et Mme Edouard Robidoux, nous n quittés pour le couvent. Elle devenait, le 5 février, postu- lante chez les Rév. Soeurs Grises à Saint-Boniface, Nos voeux de bonheur accompagnent notre co- paroissienne.
Une heureuse initiative a pris naissance dans notre paroisse la semaine dernière, Uñ groupe de dames et de jeunes filles se sont rendues chez les Rév. Soeurs de
mer un cercle de couture, afin dé pourvoir aux besoins de notre sacristie, Désormais, chaque jeu- di, on se retrouvera au même en- droit, et, dans cette atmosphère loute religieuse, on travaillera joyeusement pour la plus grande beauté du sanctuaire. ;
Tableau d'honneur pour le mois de janvier GRADE, IX — Lucien Desro- siers, k GRADE VIII-—Gilberte Bérard,
‘| Aline Genést. Depuis des années les gens de
GRADE VIH — Æileen Beaitie, Rose-Anna Thoms. : GRADE. VI — Afina Sawatzky,
te-Carrières "7". "0." RADE V — Yvette Bérard, Thérèse Genest.
GRADE IV— Thérèse Carrière, Léonard Poirier.
GRADE III — Marielle Léves- ques, Guy Saltel, ;
GRADE II — Lena Sawatzky, Edith Saltel. LA
GRADE Ï (a) — Jean Beattie, Thérèse Cinq-Mars.
GRADE I (b) — Lucienne Rou- geau. Noël Bérard.
Cours préparatoire — Germai- ne Laurendeau, Fernand Audet,
+ 4 ]
M. Roméo Pelletier, de Saint- Boniface, est venu nous entrete- nir de la nécessité de l'épargne en temps de guerre-pour donner l'aide financière indispensable au gouvernement, Un comité lo- cal a été formé, ;
Président, R. P. Lalonde, C.S.V.; vice-président, J.-H. Desrosiers; secrétaire, Alfred Genest;, Emile Roy, Jean Saive, Eugène Corbeil,
Julien Salter.
Saint-Norbert
Vendredi dernier, M. l'abbé A, Couture, aumônier diocésain, de l'Action ‘catholique, venait pré-
senter aux jécistes du couvent la |"
nouvelle secrétaire de: l'Action catholique, Mile G. Laporte, A cette occasion, les élèves se réu- nirent en équipe pour faire une étude spéciale sur “l'esprit de prière de la sainte Vierge”, Com- pétenie en la matière, Mlle Lapor- te prit une part active à l'étude et donna de sages conseils qui porteront certainement fruit, Les
avons de bonnes raisons d’espé- | croisées: eurent. aussi le plaisir
V > ; rer que-nous aurons, aväht long- | de deux filles du premier mariage, | {fe
emps, une bonne- roule entre Dufrost et Morris. M. Préfontaine s'est, montré
très satisfait de la belle repré-
lui souhaiter la bienvenue, Merei sincère à M. l'aumônier de cette délicate attention,
e . L1
M. et Mie A. Boucher, autre-
sentetion des citoyens intéressés. | fois de Sainte-Anne, se sont fixés
liste suivante: MM, J. Desharnais,
u'il nous suffise d'énumérer la! définitivement à
Saint-Norbert, près de leur fille, Mme Toupin,
SOYEZ |
NÉRVOSITE FATIGUE HABITUELLE | SPUISEMENT MANQUE D'APPÉIT
1 1
FORT
UN ON MN CE MÉDICALE MORO 1566, 5-Denis Montréal
PR sue Lau hp Bu amec rs
Fanenes Vercheurs,.
._ MEROÏ D'AVANCE.
Les externes du couvent se sont dévouées pendant leur récrèm tions pour la Croix-Rouge. Plu- sieurs d'entre elles ont d'abord appris à tricoter, puis ont fait un-bon-nombre de chandaïils et de ceche-tête qui ont été envoyés dernièrement pour l'usage de noy soldats. Puisse cette première ini- el être suivie de bien d'au- tres V
Tableau pus croi au couvent, anvier
GRADE X1 — Dorothy Frost, Gilberte Allard, Jeanne Champa-
gne,
GRADE XI — Kathleen Ford, Dorcthy Eirick, Norah Keenahan: :
GRADE X — Marguerite Me- ri ns pied Rose La’
, Marguerite aughton, … :
__ GRADE IX — Lena. Marielle Moreau, Mary Chop, ù Erna Rempel, Géraldine Mamil: ton, Lucille Campeau, Helen : Dzialik, 1
GRADE VHI — Lucille Benja- min, Fleur-Ange Cormier, Anné
e,
GRADE VII = Dolorès Lord, Mary Mosieowich. Fr GRADE VI — Thérèse Cham: pagne, Thérèse Desrosiers, Eileen
Connery, Audrey Allbright, GRADE -V — Jeanne Brisson, GRADE IV — Lucille rt GRADE III — Bernice Æubey,
Sophie Balogh, Irène de Vos, Léo:
nie Lemoine, Yvette Cormier, ;. GRADE II — Lucille Zastre,
ee
a Fe Lucille Desrosiers, À
t
D E
M"
Cartes Professionnelles AVOCATS ET NOTAIRES ‘:
Noël Bernier ‘ ‘ Alexandre Berain BERNIER et BERNIER
AVOCATS — NOTAIRES
munie Pabién prdte. «: RTS
ns Rae p!
L. H, BENARD, BSc, | AVOCAT ET NOTAIRE
No 4, senes Daune-Cainéienne | Fl WINNIPEG |
PRATIQUE GENERALE DU DROIT
J. T. BEAUBIEN, CR,
AVOCAT ET NOTAIRE No 4, inuion À - Canadienne
PRATIQUE GENERALE DU DROIT mA 2 de Jan, gts < MEDECINS Dr G.-M. La FLECHE MEDECIN-CHIRURGIEN _ +. Dr PE. La FLECHE : : <=: DONNE ,
Bureau: 28 774 Résidence: 201 265 Dr A. G. DANDENAULT
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Dr ET. ETSELL “MEUECR CMRURONEN
Soins spéciaux Matadies de reins Hleures de bureau 3 h 8 6h pm sur rendez-vous munies Rés 4 Si l'on ne répond pas, pi “Doctor s Registry" #1
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ar 4 radins 303
de 1,500 églises, et priant pour la
que leçon de foi chrétienne donnée ainsi @au monde entier par le peuple français, en un temps ou l’on semble oublier Dieu meitre sa confiance uniquement dans les ens humains? Songe-t-on enfin aux multi actes Se ef et de à sagas qu'a oquer dans le coeur des gens cette belle manifestation? Devant de si ndioses cérémonies, témoign non téquiv » de la loyauté du peuple cana- | + dien-frar Jes-at tie fiées que fausses d'un certain élément, au contre notre population, nous parais- t ridicules, |
On ne saurait négliger de relever ici t-le sens de cette cérémonie, ° A notre ravis, hr Len pre mie tutti ulign est bien le respect de nos gou- *vernants pour l'autorité religieuse. ns , doute, tout n'est pas parf hez-_nous,
ééais ti nous jetons un regard sur les au
#pays, nous pouvons être fiers de la place Affhonneur qu'occupe l'Eglise catholique au Canada. Autre trait remarquable dans 1» monie. d'hier; toute l’armée canadien- "ne était représentée: armée de terre, avia- tion et marine. Comme autrefois, les che-« Wuliers, avant de partir pour leurs croisa-
, des, venaient présenter leur épée au Sei-
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nécessité de l'aide divine, sont ven eurs armes à Dieu. $ , +
%
+ +
+. L'allocution de Son Eminence le car- dinal Villeneuve fut un véritable chef- M d'oeuvre. En termes profondément justes ct énergiques, le prince de l'Eglise au Ca- da a rappelé le but de cette journée, les nditions de la victoire, les moyens qui assureront le succès. et enfin, les principes qui devront guider les gouvernants pour l'é ment dans le monde d’une paix tjuste et durable. e x
” Le but premier de cette manifestation. | est “de calmer le courroux divin et d'attirer rvets la terre les flots de la céleste miséri-
n
z Bengasi, la dernière des grosses places
AT fortes ilaliennes en Libye orientale, est
rtombé -jeudi-entre les-mains des 1roupes
À britañniques. On avait cru que l'ennemi
en ferait le centre d'une résistance opi-
! niâtre et de longue durée. Il a jugé plus
e de céder encore du terrain et de re- er le gros de ses forces sur Tripoli.
% Mais Tripoli est à 600 milles de Ben- Kyasi. Entre les deux villes, il n'y a que le désert aride. Les légions de Mussolini, dpi démoralisées par une série de revers et une retraite incessante, ont devant elles la perspective d'une rude étape à franchir abant sx uvoir atteindre cet objectif. Le “long de milles de la côte méditerra- néenne, elles vont être harcelées par l'ar- “illerie motorisée, par l'aviation et même par la marine britanniques. | Bengasi était la capitale provinciale de A1 la Cyrénaïque, considérée par les Italiens lscomme se raltachant à leur territoire na- '“onal. Son port offre des facilités. de premier ordre aux Anglais pour le ravi- .taillement de leurs armées de terre et de mer. Son aérodrome leur procure une base “iérienne idéale pour aller attaquer les Ita- s et même les Allemands .chez eux. poli n'est qu'à 35? milles par air: et} PimMane, base des bombardiers nazis en tsleile, à #30 milles. Ainsi, la Grande-Bre- NU lagne renforce ses posilions autour de AR '/'étroile bande de mer entre la Sicile*et l'Afrique du Nord, que surveille l'aviation nazie. é : © C'est le 9 décembre seulement que l'ar- | mée du Nil‘exécutait son raid contre Sidi
re”
n] 1 É
LE à
que marquèrent les glorieuses élapes de Pardia, T'obrouk et Derna: Avec l'occupa- tion de Bengasi, les Britanniques sont les maîtres de la moïlié de la Libye et de toute la côte nord-africaine jusqu'à Alexandrie. Voilà deux mois de campagne le- ment uniques dans l'histoire militaire .dn ! Royaume-Uni. - À A Vichy, la crise qui dure depuis deux | rois semble avoir reçu une solulion, mais | ce terrain tremblant il ne faut bas trop À
Parrani, début d'une gran foudroyante
ème cause? Songe-t-on aussi à la is:
EN,
vaine si elle ne s’alimentait pas dans le jeûne et la pénitence: cel Si nous demandons notre victoire, d'ajouter Son Eminence, c'est que les peu- ples écrasés attendent notre victoire pour respirer ét revivre. Puis le prédicateur évoque le. souvenir pénible des peuples vainetis et tout spésinlenent de cette France pour laquelle nos coeurs battent toujours, Mais, —et cette remarque ne doit pas être oubliée, — si nous demandons la victoire, c’est, selon les paroles mêmes de Sa Majesté George VI, pour frayer notre chemin vers la justice et la paix. Cette paix, on le conçoit facilement, ne se fera pas sans que-la haine disparaisse des coeurs, sans que l'égoisme cède la place à la charité, sans qu'il s'opère de nécessaires rajustements économiques, sans le respect des droits des minorités. 4 __ Toute guerre trouve son origine dans
Mais, d'autre part. notre confiance serait
rres sont toti- jours la prière publique, la péni- tence et la confiance en la Pro- vidence divine. Et toute l'histoire de la chréticnté enseigne de mè- me, depuis le triomphe du Laba- rum, depuis Attila arrêté par Île
papa saint Léon le Grand, depuis
Lutèce sauvée par sainte Gene- viève, depuis Lépante et depuis Sobicski, et, pour nous-mêmes, depuis Dollard des Ormeaux et Notre-Dame :des Victoires,
Nous sommes réunis afin de proclamer solennellement notre foi en ce Dieu des armées et des victoires qui est notre Dieu. Et pour lui offrir les mérites pro- pitiatoires de l’Auguste Victime et les accents de notre humilité, de notre supplication, de notre con- fiance. *
l'inobservance des lois de Dieu; aussi bien, il ne saurait y avoir de paix véritable sans un scrupuleux. respect de la loi divine. Nous ne saurions nous cantenter d’une vic- toire pour nos armées, il faut aussi souhai- ter une victoire sur les idées, “victoire sur le désordre social, sur les ambitions effré- nées, sur le mépris des lois fondamentales de-la nature, des lois sacrées du mariage”. + : PA
Le geste posé par Lépanrahle Ernest
Lapointe témoigne au hautement de
l'esprit de foi de nos chefs civils.. Cette
magaifiquë prière qu’a récilée le Ministre |
de la Justice devrait monter souvent à nog lèvres dans ces temps troublés," et surtout, le: i
RES -
Disons-le de nouveau, dans un admi- rable acte de foi et de sage collaboration, les autorités religieuses et civiles de la pro- vince de Québec, en organisant cetté mé- morable journée, auront une fois de plus donné l'exemple de sens chrétien et de vrai patriotisme à tout le Canada.
Sachons profiter des lecons qui décou- lent de cette-croisade de prières: que le repentir, la piété, et la confiance en Dieu soient nos armes. Redevenons chrétiens dans toute l’acception du mot, sauvons la civilisation, chrétienne tout d'abord chez nous, si noùs voulons attirer sur nous les béñédictions de Dieu.
L. L.
À Les Italiens retraitent sur tous les fronts.
s'avancer .., Laval n'obtient pas, pour l'instant du moins, ce qu'il exigeait: la direction d'un -eabinét de son-choix responñ- sable devant une. assemblée nationale de son choix, avec la direction de la politique étrangère et de toutes les négociations avec l'Allemagne. C'est l'amiral Darlan, bras droit de Pétain, qui devient vice-premier et ministre des _uffaires étrangères. général Huntziger garde le. portefeuille de la défense nationale. Les destinées de |la France sont donc entre les mairts de trois chefs militaires.
Ce remaniement du cabinet semblait tout d'abord ouvrir la voie au retour de Laval. Cependant l'amiral Darlan s'est vu peu après désigné comme le successeur éventuel du maréchal'Pétain, poste détenu par Laval avant sa disgrâce. Est-ce le rejet définitif de l'homme lige de l'Allemagne? Il faut noter que Flandin, autre pro-alle- “mand notoire, est écarté parce que hostile à Laval, comme va l'être Peyrouton.
ents de foi et de repentir qu’elle |rai
nous prions;
Le
La civilisation chrétienne . Ah! certes, non, nous ne som- mes point pour la guerre! Mais pouvons-nous sans émoi laisser périr Ja civilisation chrétienne; pouvons-nous regarder indiffé- rents le règne de la barbarie re- paraître dans le monde; mais pouvons-nous l'oeil sec voir s'a-
que nous aimons et auxquels nous attachent des liens de toute espè- ‘ce; pouvons-nous sans terreur observer avec quelle rage une puissance effrénée s'attaque à la métropole britannique, menaçant e sa haine el de sès coups- la grande famille des nations sou- mises à notre commun Souve- _dénombrer
wi
r les villes leurs foudres et tuant les plus innocentes. yictimes: pouvons- nous voir les horizons s’embraser et les océans se rougir sous leurs feux meurtriers, les flottes qui ravitaillent les continents som- brer à jamais, la famine menacer le monde, la guerre s'approcher ainsi de nos bords, sans nous dresser d'un commun accord pour opposer ja force à la force, la dé‘ense à l'attaque, la justice
à l'iniquité, la victoire, en un!
mot, à des. marches conquérantes aussi néfastes ,et qu'il. faut ar- rêter ct refouler à tout prix, sons peine de voir périr la civilisation et la chréticnté.
Nous voulons la victoire
Voilà pourquoi nous voulons la victoire, Et parce qu’en ce jour, nous, descendants de la France, fille ainée de l'Eglise,
avons prié déjà, à l’appel de nos
et que plusieurs ont jeüné et re- grelté leurs péchés; parce que [nous avons prié à l'exemple de |nos Souverains, et selon l'invita- tion faite à tout l'Empire; parce que, chez les peuples opprimés, tant de prières et tant de larmes se répandent dans le secret des coeurs et sous les voûtes des tem- ples; parce que nos ennemis croient pouvoir braver la puis- sance divine qu'ils défient ou qu'ils blasphèment, tandis que nous, si nous sommes coupables, au moins nous prions. parce que, melgré nos fautes et nos erreurs, et malgré les fautes et les er- reurs de nos alliés, un souffle de régénération chrétienne com-
[ne à se lever sur neus et sur | Pologne expirante. Hitler, l'en-| eux, ou nous avons-lieu de-de-}nemi--avéré--{du
132,7 =: |
battre et périr tant de peuples,
H Re EE me tm
d'acier de
vieille |
parce - que nous-
ze
: f
çon de résistance patriotique qu'ait connue l’histoire.
Et nous remercions la grande République voisine de s'associer avec munificence, “et dans un geste intrépide, à notre défense de liberté humaine. Avec gratitu- de nous saluons son valeureux Président.
Vers ln justice et Ia paix
Bien plus, notre requiem acter- nam et notre peñrsée émue vont aux soldats tombés sur tous les champs de bataille, et nous re- commandons leurs âmes au Sei- gneur, «
Car, pour citer une fois encore les paroles mêmes de Sa Majesté George VI, si nous demandons la victoire, v'est pour frayer notre chemin vers la justice et vers la paix, Vers une paix juste et du- rable, selon les voeux réitérés de
ne et conttléges dé 6 j gations de l'individu à l'égard du
bien commun. ’ confiance, nous
a, ï
Nous avons
tanniques, et reçus coinme une base solide sur laquelle une paix durable pourra s'édifier.
Victoire sur les idées
Vous le voyez, mes frères, c’est une victoire pour nos armes, mais aussi une victoire peut-être sur les idées, qui nous est nécessaire; victoire sur le désordre social qui agile présentement même les dé- mocraties, sur les ambitions ef- frénées, sur la concentration outrancière des richesses, sur la mécanisation de l’ouvrier, sur le mépris des dictées fondamentales dela nature, des droits de la
Sa Sainteté le Pape Pie XII, vers la paix avec les autres nations, sans haine ni méfiance pour au- cun, vers la paix dans une socié- té équitable et ordonnée, où l'é- goïsme cédera la place au culte du droit et à la vertu d'humanité,
L’abondance des matières nous oblige à remettre, pour cette semaine, -la suite des articles du R. P. Richard Arès, S.J., sur “Nos positions : françaises au Manitoba”,
TRIBUNE LIBRE
|
municetions qui paraissent sous
cette rubrique. Nous ne pu- ‘blions que des lettres signées. Les correspondants peuvent ce- pendant, user d'un pseudonyme, à la condition que leur nom et adresse nous soient connus.
En marge de la guerre
\ Il serait enfantin d’avancér que les Franco-Canadiens ont donné {dans le militarisme, Comme la majorité de ceux qui approuvent Il'effort militaire de ce pays, ils [ont toujours eru à la folie de-a iguerre, Ils s'étaient associés au concert universel en applaudis- {berlain et ses concessions à Hit- {ler, lors de l'échaffourée de Mu- nich, tout comme ils avaient ap- prouvé l'esprit de tolérance, de Inotre propre administration à Ottawa et de celles de l'Angle- térre et de la France d’abord, en- vers te Japon en 1933; puis envers
thiopie.
Personne ne voudrait leur re- |precher d'être tombés dans le |pacifisme idéologique, des mieux |intentionnés d'ailleurs et qui était | à la mode alors” Ce pacifisme pas- |sait comme un courant d’air sur | l'univers à cette époque. A noter que les ouvriers, de par le mon- ide, recevaient leurs arguments anti-militaristes de Russie, ce soi-disant berceau des doctrines humanitaires. .
Or. depuis septembre 1939, la déclaration de guerre a dévoilé les hypocrites. La Russie a dé- | couvert son jeu en envahissant, {sans aucune provocation, la peti- te Finlande et en prenant à son comple une bonne partie de la
Eommunisme
Darlan passe pour étre ambitieux et|mMander avec confiance et d'at-| (l'on sait maintenant que ce n'é-
peu porté vers l'Angleterre, surtout depuis l'incident malheureux d'Oran; mais une chose certaine, 'c'est qu'il ne livrera pas la marine à Hitler.
Les négocialions interminables entre Vichy et Paris au sujet de l'affaire Laval ont vivement inquiété, on le devine, les po- pulalions francaises de fa.métropole et de l'Afrique du Nord. Aussi le:-général Wey- gand, placé-au point névralgique de l'Em- pire colonial -francais, a-t-il cru devoir udervenir pour la seconde fois en moins
Pétain, il « déclaré que la France n'avait pas l'intention de laisser l'Allemagne uti- diser la base navale de- Bizerte et n'avait pas enÿagé de négociations à ce sujet. En d'autres termes, si Hitler veut les ports français de la Méditerranée, il devra les prendre de force et ce sera: la rupture de l'armistice. . .
Les relalions diplomatiques entre la Grande-Bretagne et la Roumanie sont
rompues. à . « L . F.
itendre avec espoir la victoire -du Dieu qui de sa puissance repous- se- loujours avec sagesse les en- nemis de ceux qui espèrent en lui; nous souvenant toutefois, comme Île rappelait Lord Halifax dans un message public, que no- tre prière doit avant tout deman- der à Dieu de connaîtré sa volon: té, laissant ensuite nos voies avec {confiance entre ses mains.
"Souvenir du 22e
tait que du théâtre) s'est acoqui- né avec Staline, à la grande stu- péfaction des bonpes âmes qui lavaient mis leur confiance dans Île. prolétariat:. ce prolétariat qui [ne ferait plus les guerres du ca- | pitalisme impérial, Puis, à la sui- Îte de ces deux pirates, le bon !Mussolini, ce sauveur auréolé de {l'humenité, qui s'empare d'un coin de la France, comme un ban- dit embusque un voyageur. Dieu sait combien il faudra de
au’ils
sant les démarches de M. Cham-|
vol {lItalic, lors de l'invasion de l'E-| Evêques et de nos chefs publics, !
personne, des règles de 1x gons- cience, des lois sacrées du ma- riage, des sublimes devoirs de la famille, de tous kes préceptes di- vins; c'est bien cette victoire à obtenir qui nous agenouille aus- si en ce moment!
lité. 1 : Hitler et ses copains du troisiè-
monde. Ils n'en ont pas fait un secret, puisque des cartes géogra- phiques où apparaissent le: dates. de Flinvasion de tous les pays d'Europe, l'Angleterre incluse,
été suivi à la lettre jusqu’à date et même, en certains cas, les Al- lemands ont accompli leur con- quête avant l'expiration du délai ge. C'est ainsi, par exemple, que la France n'aurait pas dû capituler avaat 1941. Lisez plutôt cette échelle, telle que publiée dans “Political Atlas” dans la série “Penguins”.
me Reich se sont-tracé an. plan | Fédér bien défini pour la conquête du |ynes essentielles? L'étude du. R.
doit bien avoir : que r, puisque CBM en une version anglaise le lundi.
* Cette émission remplacerait
aventageusement, et sans aug- mentation de frais, le Club Mati- née de la NBC, -
4. Du lundi au samedi, à 4 h., déplacer Questions of the Hour
sion Velder et du Questionnaire de la Jeunesse (le samedi),
Ï se fait chaque semaine et pé- riodiquemebt une foule. d'autres
pourrai lque | consentir la majorité, æé d'unité nationale. 1 y en à bien d'autres qui s'aligneraient volon. fiers à la suite de ceux-ci, mais qui tauseraient plus de boulever- sements.
que t
nous itrice
Que ces concessions n'aient pas encore été faites, voilà qui Kiisse pensffs ceux auxquels on affirme que s'il n'y a pas plus de français à la radio nationale, c'est parce
{que l'argent manque pour en met-
l
tre... Les Associations nationales de l'Ouest
: Dossier sur le Pacte Fédératif
Le rapport, de la commission |tion a le caractère d'une simple Rowell-Sirois a remis à. l'avant: | loi émanée de Londres, le Fédé- scène de l'actualité l'étude duiral peut s'arrôger de nouveaux
Pacte Fédératif.
Le développe- | pouvoirs, empièter sur les droits
ment rapide du Canada, sa trans-|des provinces et chambarder à sa
formation économique surtout, « rendu nécessaire un réajustement
mécanisme de notre sys-
guise l'Acte de l'Amérique britan. nique du Nord, Une sanction de Londres suffirait à donner à cet-
fême gouvernemental, Dans que esprit effectuer cette adaptation? S'agit-il de jeter bas l'oeuvre des Pères de la Confédération et d'é- difier de toute pièce un organis- me nouveau? Assurément non. Tous les tenants d'un renouveau statutaire sont unanimes à vou-
Ce fait qui nous envisage, nous | joir conserver intactes les, clau- ne l'avons pas encore reconnu|ses fondamentales de l'Acte de dans toute sa force et sa bruta-| l'Amérique britannique du Nord,
Mais alors surgit le problème cen- tral: quel est l'esprit du Pacte ratif, quelles en sont les li-
P. Richard Arès, S.J., approfondit ce problème et lui apporte une solution claire, juste, documentée. -Deux thèses mettent aux prises provincialistes et fédéralistes.
Pere Notre Conslitation fédérale est-
elle un contrat où ne simple lo? Queskion délicate, hérissée de dif- ficultés, et lourde surtout de con- séquences ‘pratiques.
Si le pacte fédératif est un con- {rat, lc pouvoir central, créé par
Qui, n’en peut amender, aucune
clause sans lé consentement una- nime des signataires. La sanction de Londres serait impuissante à effectuer tout changement, Les
Elle vous fera nasser un frisson | Péres de la Confédération étaient dans le dos si vous avez la moin-|jes délégués officiels des provin-
dre notion du danger:
ces et des deux principales natio-
Printemps de 1938—Autriche:!| nalités, Is ont signé au nom de ‘Automne de 1938--Tchécoslova- leurs mandataires et le Parlement
quic. Printemps: de 1939—-Hongrie, Automne de 1939—Pologne.
vie. ë
Bulgarie, Turquie d'Europe.
France.
[che et-Ekraîne. (1948 Angleterre, Scandinavie).
britannique a sanctionné ensuite ce pacte libre entre parties juridi- ques autonomes. En conséquence,
Printemps de 1940. Yougosla-|les droits du Fédéral ne peuvent
dépasser les iimites strictes as-
Automne de 1940 — Roumanie, |signées par l'Acte de l'Amérique
britannique du Nord, et tout ac-
Printemps de 1941—Danemark, | caparement de. pouvoir, sans Île Hollande, Belgique, Nord de la | consentement uñanimeg_ des pro-
vinces, est une viofation du Pacte
Automne de 1941—Russie Blan-|Fédéralif.
“Par contre, si -notre, Constiti-
.Or il est bien établi que ce n’est |en avant été des exploiteurs qui
pas-pér la seule force de leurs |ont ‘abusé ‘des libertés et des a-
siégés.
en voyant des espions partout {mais il ne faut pas-non plus s’a- veugler ni être assez stupides pour ne pas les sentir à l'oeuvre {tout autour de nous, Ce qui est encore plus dangereux pour la sécurité du pays et le succès de nos armes, c'est l'attitude de nos soi-disant réformateurs,. de nos indépendants et de nos seepti- ques, dont l'étroitesse d'esprit les empêche de voir juste et leur ins- pire le désir de saper le travail des péuvres “dévoyés” qui veulent \résister aux agresseurs, quand il serait si facile de se livrer corps tet âmes. 5 Grande-Bretagne, _ quoi
La ‘qu'on en dise, combat pour Fa dé-
Certes, nous demandons la vic- temps pour mettre ces apaches à fense des institutions et des cro- d'une semaine: Au nom du gouvernement \'oire d'abord-de-nos-armées. Le l'ordre. 1 n'est. plus temps d'er-|Yances que tout homme libre-doit
Canada est notre patrie, le pa- triotisme chrétien remplit d'a- mour et impose les plus sublimes et les plus héroïques devoirs en- vers la patrie, Et là-bas des sol- dats nos frères, héritiers des faits d'armes du 22e à Vimy, — | du 22e dont les glorieux drapeaux se balancent sous celle voûte sa- iérée, sont au front'et s'apprè tent à verser demain. leur sang |pour défendre nas vies, Et dans
ice temple vénéré, ce sont. les fils
goter, de chercher les fauteurs de
|guerre. Nous sommes devant un | fait. Que nous le voulions ou non, nous ne pouvons pas ne pas y faire face, à moins d'être totale- ment dépourvus de l'instinct de conservation. Du résultat de cette lutte dépend non seulement notre Lavenir, mais. notre existence mé. + He,
Quand le feu est à l'écurie, l'onlque de petits êtres méprisables,
| chérir. C'est -done à nous de met- {tre le holà à tous nos théoriciens, | nos socialistes, etc., tous ces faux
patriotes qui ont assez de haine! .
de la démocratie pour souhaîter l'avènement de la dictature.
D'ordinaire ils détournent l'at-
tention de leurs propres senti- |
{ments en invequant les grands [principes chrétiens, fls ne sent
concours coupable et aveugle de |et qui es certains nationaux des pays as-|la dicture.-
‘Îtrer au grand jour.
armes que ,lçs Allemands ont fait | vantäges qu'elle offre à’ l’huma- les conquêtes connues, Même là |nité, de quels droits s'arrogent-ils où ils ont mis en branle leurs gi-|fa mission de sauver le monde: gantesques armées, leurs rapides | Comment sont-ils tout à coup sai- succès n'ont été passibles qu'en sis de la sainte préoccupation du |! raison du travail sournois delbonheur du prochain, qui Îles leurs agents secrets, travail qui|pousse à vouloir tout chambar- se faisait depuis des années dans |der? Dans le fond, ce sont des | présidence des Etats-Unis, à Jnis- tous ces pays. Ces agents mêmes | faibles qui ne trouvent pas leur |$6 un message adressé. au peuple auraient élé impuissants, sans le| place dans l'ordre démocratique | allemand que le ministère de l'In- rent jouer un rôle dans | formation vient de publier et qui " -teere. diffüsé en Allemagne pur*:,
|
|
le procédure Torce dé loi: 1e té-
gislateur est maître de sa lègis. lation et peut l'amender à volon- ‘ té, Ene l'occurrence, les sujets jouissent tout au plus de voix consultative.
Qui ne voit la portée vitale de ces deux théories pour nous, cu- nadiens-français? : Nos droits’ sont-ils, oui où non, garantis par un contrat révocable à “notre” volonté? . .
Le R, P, Richard Arès apporte à cette étudé du Pacte Fédératif ses qualités de penseur, de solide logicien, de chercheur sagace et infatiguble, Une thèse de ce genre vaut par l'étendue et le choix ju- dicieux de la. documentation. Nous ne pouvons demander Fauteur d'êlre à-Ja fois-professqur
les rouages d'une constitution gouvernementale n'ont plus de secrets. Mais nous attendons de lui, qu'il appuie In structure de.
son travail sur dés documents s0-
lides et puisés à toutes les sour- ces autorisées, C'est Jà le grand mérite de la présenté étude, : L'auteur introduit son oeuvre en homme modeste: ‘C'est un simple essai tendant à grouper avec clarté et méthode les don- nées d’un problème fort compli-
qué ... 11 se présente sans artifice :: littéraire, uniquement préoccupé
de noms, -de faits et-de-preuves- (Avant-propos, p. 1V)." Monsieur l'abbé Lionel GroulxŸ lui, juge que la thèse du R. P, Arès “est bien l'étude la plus fouillée que l'on ait encore faite sur quelques as- pects de la constitution canadien- ne”. Appréciation précieuse et qui rend superflu tout commen- taire. FT M RAYMONXP, SL
WILLKIE PARLE AUX. ALLEMANDS
LONDRES — En partant de Londres, M." Wendell-Æ, WiMkie, ancien candidat républicain ‘à la
Si. au moins, ils avaient la dé- los les moyens possibles, par la
IUne faudrait pas s'illusionner cence et le courage de se mon: |T, S. F, et par les feuillets jetés Mais non,!des avions. M. Willkie ‘y déclare
comme les malfaiteurs qui ram-}que les Germano-Américains re- pent dans l'ombre à la poursuite | poussent et coridamnent 1» politi- de leurs victimes, ils embrassent |que d'agression et de domination les idées répandues par la pro-|du gouvernement actuel de lAlle, pagande pérnicieuse des enñemis|magne.
de leur patrie et les chuehotent avec des petits àirs dévotieux, Dañs leur suffisance, ils croient
avoir découvert eux-mêmes ces Re ont men
théories ‘impraticables qui fuit faillite il y a des siécles et
que les racistes et-les communis- tes ont ressuscitées pour jeter de
la poudre aux yeux des gogos.
Î
Voici le texte du message de M. Willkie:
“Je suis de descendance pure- 1 ollemande, dit M: Willkie, Mon nom n'est pas Willkie, mais Willicke, Mes grands-parents ont quitfé l'Allemagne il y a 90 ans pour protester contre l'autocratie et parce qu'ils réclamaient le
La situation est trop séricuse! jsoit de vivre en hommes libres,
\pour qu'on la tolère plus long- Ftemps-H faut démasquer les co-
lonnurds. A bas les traifres! MN. F.
2 0 — —
soldats
sieurs centaines de
Moi aussi, je réclame ce droit,
| “je suis fier du sang allemand
NEW GLASGOW, NE, — Plu-
sr
sont battus entre eux et avec des civils, endommageant des pro-
maison,
LONDRES — Le ministre de la | nous, fils !nous repoussôns et abhorrons l'u-
santé Malcolm MacDonald,
priétés et mettant le feu à une
qui coule dans mes veines, mais j'abhorre l'agression et la fvran- nie. |
“Dites au peuple allemand que mes convictions sont partagées. par l'immense majorité de mes compatriotes d'origine-ahlemande, ls ont foi, eux aussi, à la liberté et aux droits de l'homumne,
“Dites au peuple allemand que les Germano-Américeains,
essaie d'en sauver le contenu. Alépris de formules creuses. N'a-|de fey Ramsay. MacDonald, est |gression et la passion de dominas \cette enceinte, et aux porles de plus tard le soin d'en chercher |yant jamais rien fait pour la dé- | nommé haut commissaire britan- tion du gouvernement actuel de mocralie, beaucoup d'entre eux! nique au Canada, s
iles causes.
+
l'Allemagne”,
de droit Politique, juriste com sommé où homme d'Etat pour qui :
is STE 8 île
Ê Ë
rendit grande justi- ce au titre. — 11 y avait là un entrain bien canadien, vibrant de franche gaieté. = Quant à l'enco- re “Toc-Toc”: la finesse fut sa LG qd caractéristique, : Voilà maintenant deux ans que M. Paul Dugal, initiateur et con- ducteur du mouvement, nous ap- porte quelque chose de fini dans ce geure de récréstion musicale: à lui vont nos sincères félicita- |? tions. Signalons aussi le magnifi- que concours qu'apporte Dugal à nos mélodistes, Son ac- compagnement est sûr et versa- tile,
Revenant de cette soirée, on ne pouvait faire autrement que de songer à tous les mouvements artistiques que nous avons, nous, Canadiens français et Français de Saint-Boniface et de Winni- peg: sociétés musicales, littérai- res, dramatiques, historiques ... On n'a qu'à s'arrêter quelques se- condes sur cette pensée et les secondes deviendront minutes . minutes précieuses parce qu'elles éveilleront en nous bien des fier- tès, des fiertès justes, qui nous font du bien. M, B.
D ——
Section jéciste
Le nouveau bulletin “Conqué- rant” est arrivé au Secrétariat de l'ACJEF. Prix: 10 sous.
——— 2-2 ——
Nouveau custode provincial
Après un vote consultatif, le Très Révérend Père Général des Frères Mineurs Capucins à Rome vient de nommer un nouveau custode provincial pour les Capu- cins belges résidant au Canada. C'est le T. R, P. Ladislas de Zon- dercigen, actuellement. curé de l'église Sainte-Marie à Blenheim, dans le diocèse de London, Ont.
Cette charge fut remplie pen- dant le triennat passé par le Père Polycarpe, de la résidence des
et donné du chant lui-
“ne gentille déclamation.
“Bllé à chanté en rappel “The Sleigh”* de Richard Kountz. Son articulation mérite -d'être recom-
mandée; autune syllabe n'a été perdue pour l'auditoire,
Mile Broadfoot, comme accom- pagnatrice, a bien soutenu le chant de sa compagne; elle a été brillante souvent, discrète tou-
Mile Dahl s'était imposé un mm: difficile. Elle a sem- manquer un peu d’enthou- siasme dans le Scherzo en Mi mi- neur de Mendelssohn, mais à me- sure qu'elle s'habituait à son au- ditoire, son .jeu devenait plus communicatif. Elle « donné une interprétation très respectable de Je difficile Etude en Fa mineur
xEAGLET
2 a 2 qd dgn r me à
1 Ti 201440 !
venue à tous.
:
Mme | im Ducharme,
:| Arthur Asselin, D, Berthelette,
Pères Capucins à Saint-Boniface. Françoise Trudeau, nn
. ASSEMBLEE GENERALE sous les d , CERCLE DU CREDIT SOCIAL. DE ST-BONIFACE
L'AUDITORIUM DE L DIMANCHE APRES-MIDI, 16 FEVRIER, A 2 HEURES
qu Siseuters le Qu Sirois et la Les dames
— M. le PP — MM.
| Mwe: Suisner. : — La famille Adolphe Gu-
KE “Mille Marie-l. Betages. chille Hogue, L. Pronls. A, sos spa gs mon, Frs Simon, Ad. Perreault, Avenue Proveucher |Ea. Laramée ch L'Abbé, E RÉ Quintas, Geo, on, Mme Sa-
de ei ti J.-P. Trem-| sillon, Mme rh ler ad M.
Béghin, M. Désantels, A. Trudeau, 812,00 — M. le juge Joseph Ber-| M. Théberge, M, Bellefeuille, M. nier.
Deérocher, Ed. ogg 00 — M. trat Henril: 25 sous — MM. A, Clément, A. Mur ei Bourgeois, Auguste Poirier, -E. ‘85.00 — M. Jean Préfontaine. |Hogue, Eugène Sigouin, C. Gau- 83.30 — M. Louis Lévêque. thier, Mme R. Joyal, M. Fontaine, 83.00 — Le chef de police J.-H.| Mme A. Viau, Mme E. Tissot, Baudry,
10 sous — M. A. Hébert, 82.00 — M; A. Van der Straeten. à
$1.00 — MM. Femi Dussault, A-| Rues La Vérendrye 3.-H. Dubuc, Charles Dubuc, Tho- Aubert
mas Gagnon, Georges Giguère, sa . + Percepteurs: MM. Jules Turen-
Joseph Four- neaux, N. Dauphinais, Omer Fail- ne, Pamph. Laurendeau, $300 — M, John-C, Davis.
le, Maurice Gydé, Emile Couture,
M. Rocan, C.-E. Huot, Mme D.| 4200 — Miles Poirier. Colin, Mme Fortin, Milles Ena! $1,75 — La famille J.-B. Lafran- Plourde, Renée Deniset. cé
50 sous — MM. J.-B. Jacques, B. Gonick, À. Labossière, Gérard Saint-Onge, Mile Delaquis, Frank Savoie, Mile Ida Désautels. :
40 sous — M. Delavignette.
25 sous — MM. Jules Grenier,
81.00 —æ— MM. J.-B. André, Arpin.
Paul T2 C. Bohémier, Johnson, J. R, Stinson.
25 sous — MM. Jules Blomme, W. McKenzie, Jük. Vermette, J.- R. Lamb, H. Desrochers, Camille Arsenault, Jos Chudrick.
15 sous — MM, Jos Perreauit, G. Dufresne,
10 sous —- M. E. Ritchot.
Rue Masson MM. A Huot,
B.
15 sous — M, P. Turenne. 10 sous — M. O. Gosselin,
Rue Dumoulin
Percepteurs: MM. J.-L. Tru- deau, Léonard Dubé.
85.00 — La famille H. Constant.
8250 — M. Joseph Savignac.
82,09 — MM. Raymond Bernier,
1.-B, Lavery, Louis Larivière, A.- C. Larivière, Mlle Madeleine Pain- chaud,
8100 — MM. Jules Rémillard, Benoit Trudeau, Mme Dumou- chel, Joseph Bibeau, W. Leber, Charles Senez, Frank Van Belle- ghem. J.-L. Trudeau, Henri Pain- chaud, Jules De Cruvenaere, | Dussault, D, Pelland, G.-H. Béru- Raoul Mager, Lucien Hébert, M.\bé, W. Raymond, Mme J. Asselin, Güison, Mme Ernëést Cyr, Mlle A-| Mine E. Dubuc et Mile €: Dubutr, lice-H. Larivière, Mile A. Lamy. Mme A. Beaupré, Mlle J. Benoit:
50 sous — MM, F.-X. Paillé, Ar-} Mme Schimnowski, mand Larivière, Mile Béatrice Painchaud, Mme (G. Bélanger, Fernand Constant.
Percepteurs: Chas. Huot.
810.00 — Mme C. Gareau,
85.00 — Mme E. Béliveau, M. Henri d'Eschambauit.
83.00 — Mile M.-J. Bérubé,
8200 — MM. Adolphe Huot, J.- B. Poitras, Roland Ceuture, H. Benoit.
Raoul Martel, M. Pépin, Jules et
Marcel Lemay, H. Béchard, J. Le- 35 sous — M. Paul Hébert. | blanc, J. Forstall, Dr Séguin, 30 sous = M. P.-A, Laurendeau.! 25 sous — MM, Armand Picard, | 25 sous — MM. Louis Marshall, | W. McDougall.
Léo Désautels, Alex,, Rowan, 10 sous — Anonyme,
Rue Aulneau
Percepteurs -— MM. G-H, Béru- |bé, Henri Painchaud,
$600 — M, Emile Letienne,
85.00 — M. le Dr H, Guyot.
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Bélanger, Allan. Tinning,
bert, Mme L, Dussauit,
réforme monétaire. sg us _" MM. Jos Beaulieu.
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$1.00 — MM, Arthur Lemay; C. | Normandeau, A.
50 sous — MM. Louis Martel,
Gérard Houde, Chas, Lanthier.|Antoinette Baril, Mme H., Chicoine, Mme E. Lévé, | reauît, Mme Z. Brabant, Mine J.-A que, Mme ‘A. Martel, Mie L. Jou- | Prenovauit, Miles Muller, À, La- | vallée, Emile Normaadeau, 4. St-| |Hiluire, Mme P. Proulx, Magloire Lacroix, Frs |Rose Lavoie, M. Joseph Guilbault.
CUT LS tone
Chéramy, Victor Faille, ‘Hector : le Léa Dussault,
Savaria, MI Deghton. 1.25 sous Len A
poli. : Rue Langevin P
Ant, Leclerc, W. Adam, D. Bé- langer.
83.00 — M, J.-H. Daignault. 8200 = M, J.-A. Pambrun, $1.25 — M. Mathurin André. $1.09 — MM W. Goehel, Louis Vauriot, Arthur Bibeau, W, Adam, Geo. Bibeau, D, Bélanger, T. Grouette, 3: Poitras, L. Lauronce, A. Mousseau, S. Tremblay, Mme
P, Baudette, Mme C. Dusseigne, Mrie M. Dugal, Mme C. Gaudette, ra Y. Gaudette, E.-L. Jubinvil- e
75 sous — Mme Boisselle,
50 sous — MM. E. Fredette, E. Audette, Art, Dufauit, O. Rheault, L. Pambrun, Mme E, Pelletier, B. Miron, A.’Mondor, B. Brisebois, Léo Pelletier, Mme Joberty, R. Péloquin, Mme Mainguüy, E. Laa-
50 sous — MM. Albert Plante, | dry, Mme F, Mousseau, Mme Al-
lésia, Mme L;-Bourden.
25 sous — MM. R. Moreau, Jos. Lambert, P. Choquette, T, Laval- lée, Aimé Provencher, Art, Lau- rin,,Mhle F; Baudette, Adélard Champagne, Mme D, Plante.
20 sous, — M. Novoy.
Rues Hamel-Cathédrale
Percepteurs: D, Prénoveau, Jos. Chaput. #
«85.00 — MM. Siméon Dussault,
J.-C. Fournier, 82.00 — MM. P. Blanchette, J.- M. Montagnon, Mile L. Dussauit. $156 — Frs André. : 81.00 — MM.P, Raimbault, M. era R, Dussault, A, Lambert, Lambert, J. Guay. mn sous — MM. J.-Art” Lane, J.
Marçoux, W. Boucher, T, Langevin. , 25 sous — MM. H., Pambrun,
tJos: Savoie; S. Guüertin, Mme St- Godard. 10 sous — M. Gaule.
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Percepteurs: MM. S.-A, Nault,
| Fred Jodoin, Nap. Senez, À. Rit-
|chot.
$5.00 — M, Joseph Vermander.
#3.00 — M. S.-A. Nauit.
200 — Virginié Smith, M; Al- bert Paquin.
8140 — MM. G. Charette, Alph. Rocan, A. Devigne, H. Duyve-
|jonck, Cyrille Muller, Albert Boi- vin, Dr N.-A. Laurendéau, Ulrie
Lambert, Albert Guilbault, Jean
#1.00 — MM, Jean Trudeau, Jo- | Lalonde, Louis Lalonde, Fred Jo?
doin, Mme Olive:Pellerin, Mile A.- Mme :N, Ver-
Campeau, Mme
ercepteurs: MM, L. Laurence, |:
| hout,
Senez. Peter Finn, Alphonse Lau in, M. Barnabé, J.-A-M, âlldire,
T&. Mireault, “ÆErm, Proulx, M, Guertin, Mme Guertin, Laurent Huot, jean Rheault, Alphonse Normandeau, Mme R, Poirier,
25 sous — MM: Maurice Achet, Ulric Rougeau, Philippe Lernais- tré, Mme P. Poitras, Mlle Elise Dandenault.
Rue Saint-Jean-Baptiste
Percepteurs: MM. J1.-A. Blain, H. Brunet, Hector Lévêque, Jos. Bouchard, Roger Blanchette, P. Toussaint,
#10.00 — M, le juge L.-P, Roy.
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53.00 — M, Jos. Boux et famil- le. 8 8200 -— MM, G.-R. Brunet, J.-A, Blnin, -
$1.00 — MM. W. Dawson, A. Soussereau, À. Savoie, J. McLean, F. Delclao, À, Willarboito, E.-G. Fry, G:H. Marcoux, E.-G. Gray, Pierre Chabalier, Geo. Blanc, C, De Buck, George Grant, G.
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gvlerter
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87.00 — M, F. Saint-Germain,
$1:50 — MM, Joseph Gauthier, Ad. Bélanger.
81.00 — MM. F, era ne rice Prud'homme, N ou sen beria rs 8. “Rémillarn.
e a Bernier, À. * Chenier, F.-X; Courtean, pro Trois hautes aeragi Toots Pol. pu son, C. Prud'homupe, Mme I. |letier, 723 (record); E, Jubinvil- L. Beaulieu, H. Boisseïle, Mme A.lle, 768. fe Prud'homme, R. Dubreuil, Mme}. Eduipes — Haute E. Painchaud, Mlle 3, Painchaud, | handicap), "Seven-Up
50 sous — MM. M. Trudeau, F..| Trois hautes part H. Dubé, Mme À. Mollot, À. Beau- | handicap), Seveñ-Up, 25. licu, Jos. Bourgeault, Mile €. ; Bourgeault, L. Boissonneau, Al. |. Has MOTArR Pelland, Jos. Prince, Lucien Pain: Li sauts Aug. Fine TP Nm 7
85 sous — M. H, Beaulieu, . {Del Fréchétie
25 sous — MM. Jos. Saint-Hilaf: ray sure En re, E. Lowe, Chas, Boissonneau, É.. Jubinvile hs
Claude Hébert 4.
CIPECEIE PETER nsesmagenne
CODEC ETES
OBAMA
:FPétanger
le: Toots À
Joueurs — Haute Ÿ Fi A Juübin- F
Pelletier, 305 (record) ville, 322,
+ mmrrserger sat)
O. Boissonneau, Mme G,.-D, Ro- wan, Mme G, Vanñdenamelle,
Trossi, Famille Laplume, G. Pel- 1 SECTION “B*__* à letier, A. Ferland; Henry Lane, | Au Cercle Ouvrier se } 4 Wilfrid. Paquin, Wilfrid Bonin, ‘ i 20 P Georgina Hudon, T. Bochard, R. pas les Cercle Ouvrier 4. 10 54 Roy, À. Bouvier, J. Mouart, 0.| À pp (La Rivière 10 5 Bellavance, 1. Villeneuve, J, To- Bureau des postes 9 6 rale, Roger Blanchette, Paul i Crèmerie St- mea À L' 6 Toussaint, Noël Bernier, Jos. Van ss lys Ra | 6, Belleghem, Alex. Bernier, Yvon- 8 7 ne Bonin, C.-G. Delmarque, J-H Banque Can. Nationale 7 8 Desrosiers, Mme J.-M. Despatis, Prenovault 22 7 8"t Mme J.-J. Daoust. Ecole Provencher 6 9 75 sous — M, L. Giasson. Hôtel de Ville su 5 9 50 sous — MM. Ed. Lévêque, Transcona céconésenipennsé 28 10 Paul Huot, A, Chaput, A, Bélan- Huot Mssicole 6 11°
ger, Juliette Couture, Mme E, Couture, E. Hébert, J.-E. Grégoi- re, J2A; Turenne, Joseph Bou-
Joueurs — Houte partie, Helen 4
DE DIX QUILLES site Douglas, 224; Henri Lévèque, 281.
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23 sous — MM. Fred Laurin, G.| Kiewel Brewery … 8} 3 hautes parties (sans handi-‘ | Ritagliati, ÆE. Marcoux, Henri St. Bon. Hardware 8|cap), Crémerie Saint-Boniface, |: Brunet, V, Soubry, F. Mager, Al-| Banque Can. Nationale .….: 7 812,659. FE “ R phonse Robert, Louis Bazinet, FPoitras 4 5 10 He Nas
5. sous — Mme V. Logan.
SECTION “B"”
Wynant Fuel Tourist Hotel
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> _— :" -.… FFourist Hotel 4 Percepteurs: MM, Armand Dai- Frontenac Hotel 7 gnault, H, Dubé, é D'Eschambault Lu 7 8200 — MM Aunable Toupin, Dufaul: Sheet Metal . 6 9 Alf. Despatis, Narcisse Fournier, | ÿon. Hotel 8: 1000, Muller, 81.00 — MM. Magloire Rémil- Bibeau-Huot Lit A MES 5 10 lard, Cyrille Rémillard, Joseph Canadiens de Naissance , 4 11!
\, Henri Orieux, em Toupin, Mile F, Toupin, Mme P.- E. Bérubé, Mlle A. Pelletier.
50 sons —<MM, Joseph Bour- bonnière, Edgar Fourneaux, Ar- wand Daignauli, Mme .H. Sicotte, Mme E. Ritchot, Mine Bucken- Mme Aimé Lévèque.
40 sous — Mine M. Pothier,
Parties de “200” — E. par le, 213: R. Roy, 200; R.-Mon- champ, 208; T. Neyron, 223, 3 hautes parties individuclies:
Grant, 198-173-2134 (5851 Haute partie d'équipe: Kiewel Brewery, 850; hautes 2 parties |} # @. TI880T d'équipe: Wynant Fuel, 2408,
G.
{
titi Arte Cyérrrpmilhennaner. inst T0, ME in ra ah a lt nt name: artnet acier cam MS NE gg retaper tm 2 ren
à #4 De si “ L V1 ER
DIS IE “és Le Se £ La famille était devenue nom-
Il ajouta deux ailes à la mai- son.., deux ailes qui la firent plus grande .., plus élégante. R année, davantage, la maison remplissait le rôle pour
uel elle avait été bâtie,
le t'un centre vers lequel convergenient jies pensées et les coeurs, Pendant huit mois de sur-
. menage parisien. on vivait dans l'espoir de se retrouver là.., les
jeunes ménages à côté des an- ciens.., Les tout petits, récem- ment débarqués sur la planète ar- rivaient tout pâlots, et repartaient comme des pommes d'api.
‘Les vieux trouvaient une dou- ceur infinie à se reposer dans le cadre aimé de leur enfance, et tout enveloppés dans le souvenir de tant de souvenirs!...
Moi, * l'ainé, f' tenir le coup .:. «..Je ne peux plust,..'
+ + | À
Quand le fils de mon ami fut reparti, je me suis assis, très tris-
fte; sur Ja chaise qu'il venait de
C'était exact... 11 ne pouvait plus.
Mais une législation qui aboutit À de tels résultats est une légis- lation de mort...
Car elle tue la famille ...
Car c'est peu à peu, après tant d'autres causes, la fin de toutes
‘|les ‘maisons familiales .
..« C’est la France, si tradition- nelle, chassée de ses foyers an- Lg et condamnée aux loca- ts.
A quoi bon-bâtir, puisqu'on ne peut plus gardér!,.,
o + +
Mais alors, où vont-elles aller, toutes ces vieilles demeures, vi- sage aimé de la Patrie, tantôt châteaux de la Loire surchargés d'histoire, tantôt maisons d'hum- ble bourgeoisie, mais reliquaires
quels sont ceux
sramme.
Road Show
parti
Let's Make Music Men Against the Sky Meet the Wildeat FM Ride, Tenderfoot Ride .… Argentine Nights Santa Fe Trail
Flight Command
de tant de souvenirs, et qu'on a-
au Cinéma
“li est absolument nécessaire que le peuple sache = clairement queis sont les films permis pour tous,
qu'il n'est permis de ‘voir qu'à
certaines conditions, quels sont ceux, enfin, qui sont pernicieux ou franchement mauvais",
PIE XL
Il est à remarquer que dans l'appréciation d'un film, nous n’assumons nullement la nes- ponsäbilité quant aux autres parties du pro- Il arrive, assez souvent, que l'on
introduise dans un programme, par ailleurs excellent, quelqués vues, appelées “shorts”, répréhensibles à plus d'un point de vue, Lors- qu’il nous sera possible de mettre nos lecteurs en gardé contre ces pièces, nous le ferons.
Quelques films à l'affiche
cette semaine
“E=N'oître aucun danger pour le public gn général, IL—Ne convient qu'aux adultes.
1V— Condamné,
:_ H ehassait les ‘ taux, fouettait cefix qu'il ne trou- |
s
: |
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1 ts FE
Du Aux moeurs, et quand l enseignante, parlant au nom Jésus-Christ et s'adressant à tous les fidèles, impose une décision ‘comme étant une déclaration fi- male sur le point en question. L'Eglise n'est pas infaillible n'ont rien à faire avec la doctri- ne révélée, L'Eglise n’a pas reçu la mission de nous enseigner les sciences de la nature, mais seu- lement la science du salut éternel, On pourrait illustrer ce. point au moyen d'une anecdote racon- tée au sujet de Pie IX. Un bon chanoine ‘italien demandait au Souverain Pontife d'approuver une découverte scientifique qu'il venait de faire. Pie IX lui répon- dit avec finesse: “Eh! mon cher chanoine, il est des gens qui vou- draient restreindre mon autorité doctrinale, et vous voulez l'éten-
UE PNR | LT IS MAIN: qu
Be né mien ee 2 22 dd ne: si elle est joyeuse,-
propaga du Christ, Le rôle qu'elle a remplir est très important; es- pérons qu'elle l'accomplira un
par un saint; ce n’est pas seule- nent à. Jumiè fon boit, est la vie, c’est la chaleur qu'on aspire, c’est un parfum tout spé- cial qui se répand en nous: ,..” Qui peut nier la sagesse dé ces paroles? Si en un certain témps notre âme est tr 1 passage raffermit son bonheur. Une bon- ne pensée prise ‘sur une feuille
Liturgie de la semaine
résiste à l'influence de la pensée imprimée, pourquoi ne rendrions- nous pas cette influence en fa- veur de la “bonne presse”? C'est donc notre urgent devoir à nous chrétiens d'encourager, de soutenir, de propager l’ocuvre de la bonne presse. La vérité, la paix de l'âme auront,. grâce à elle, un chemin frayé vers tous les coeurs si -nous lui restons fidèles. C'est chose incontestée que ce terrible instrument de la pensée humaine cause des trou- bles affreux dans le monde, mais nous ne pouvons fermer les yeux
sur “les heureux succès dont lui |
sont redevables les sciences, les = 5 RTS 7, à Mariette SICOTTE, —Grade X.
= -
. Bernadette Soubiro
18 janvier
Le nom de Bernadette, l’humble et-douce privilégiée de la Vierge Immaculée, est inséparable de celui de Notre-Dame de Lourdes, La Voyante étant plus connue que la sainte religieuse, nous rap-
dre aux mathématiques et à la 'pellerons de préférence celle que physique: adressez-vous au Père |le Pape Pie XI a béatifiée le 14 Secchi. il en sait plus long que |juin 1925, sous ‘le nom de Soeur
moi là-dessus”,
Marie-Bernard, de la Congréga-
2 | tion de Nevers. — C'est huit ans
perbelt. un peu partout, de lal*Près que les apparitions que
portière. des wagons, quand on traverse notre pays?..; Où vont-elles aller? ...
Bernadette arrivait au couvent de Saint-Gildard, le 7 juillet 1866. On comprend qu'elle y fut un:
Entre les mains de qui?... de|objet de pieuse curiosité, non quel démolisseur?, . de quel é-{seulement pour les Soeurs, mais
tranger? ... Et à quel usage?, ; Sunt lacrymae rerum ...
aussi pour les personnes du mon- de, Toutefois, cette curiosité, quand elle s'en apercevait, ne
Oui, à certains moments, même |troublait point son calme et son
les choses semblent pleurer...
Pierre L'ERMITE, D ©
Un maréchal original
Le maréchal russe Soveroff, qui fut un grand soldat et qui détes- tait cordialement les Français, poussait l'originalité jusqu’à l’ex- travagance. C'est ainsi qu'il se couchait à six heures du soir, se levait à deux heures du matin et se nowrrissait d'uné manière bi- zarre, l'eau-de-vie constituant le plus clair de ses repas. 11 parcou- rail souvent son camp nu ou en chemise, montant à poil un cheval de cosaque; le matin, au lieu de | faire battre la diane, il sortait de sa tente et chantait trois fois conime un coq...
y. Le bon maréchal se comman-
7 dait, en son propre nom, d'aller à
la promenade, de se coucher, de se lever de table. Un aide de camp venait-il l'empêcher de trop thoire où manger, il lui suffisait ide dire: “Par Yordre du maré- chal Souvoroff”, pour que le ma- réchal quitte aussitôt la table, en | disant: “Il faut qu'on lui obéis-
ise |
idats des hôpi-
| vait que faibles et distribuait aux
iautres du sel et de la rhubarbe, WA rejeter parce que condamnuble en | Enfin. il aimait à dire en par-
lant de deux généraux, ses col-
A “Kamens-Koï connait la guer-
| pour l'ibpréciation morale de ces filua uous | mais elle ne le connaît pas; je spnt fosse por la “National Legion of Decency” et par la “Catholic News” de New-York
jme la connais pas, mais elle me jeounaîil, Quant à Saltikoff, il ne
la connait ni n'en est connu”... |
humilité, tant elle vivait recueil- lie, tout entière À la pensée de
Dieu, de Jésus et de Marie, Dieu permit que les humiliations ne lui manquèrent pas, de la part des supérieures. La sainte Vierge lui avait promis de la rendre heu- reuse, “non pas en ce monde, mais au ciel”. Elle eut aussi beau- coup à souffrir des crises d’asth- mé qui déchiraient sa poitrine, On lui confia successivement les charges d'infirmière et de sacris- tine. Bientôt elle n'eut plus qu'un état, celui de victime: victime de pureté, elle avouait ne pas con- naître le péché; victime d'humili- té, elle se regardait, comme “un balai qu'on met dans un coin”. 11 fallait l'entendre dire: “Marie est si belle que, quand on l'a vue une fois, on voudrait mourir pour la revoir”. Ce bonheur lui arriva le 16 avril 1876. Toute sa vie reli- gieuse commé celle de Voyante abonde de traits pleins de char- me. et d'édification.
F
La Presse
11
si...
craignons pas de dire qu'elle nécessité. : Qu'ils croissent donc et
“Le Von journal est près de mon coeur, je considère comme fait à moi-même tout ce que l'on fait en faveur du bon journal”.
“La Presse Catholique est non seulement le porte-voix du Pape, mais la voix du Pape”.
Ce que les évêques du Canada en pensent
“La presse, sous toutes ses formes, mais surtout sous la form: du journal, est la grande et parfois la seule éduca- trice des multitudes. Elle pénètre partout, s'adresse à toutes les classes et à tous les âges, traite tous les sujets, met et tient en éveil toutes les curiosités et s'erypare peu à peu des esprits qu'elle forme ou déforme à son gré. Son influence est très souvent décisive et ses jugements sans appel . , .
Aussi sommes-nous convaincus que la création, la dif- fusion, le soutien constant de journaux véritablément ca- tholiques est une oeuvre souverainement utile et nous ne
vraiment catholiques. C'est notre ardent désir que les fidé- les s'y abonnent et les soutiennent de toutes façons; que le clergé les encourage et travaille à leur diffusion”.
Concile Plénier de Québec.
Un journal catholique et français dans chaque famille catholique et française du Manitoba.
Catholique
PIE XL
est de nos jours une absolue
se multiplient les journaux
bombardement suivait son terri- bte :
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prit $es sens, il était étendu au pied d'un mur branlant. Tout de suite debout, il porta d'abord se- cours à la ménagère et à la ser- vante du presbytère, deux vieil- les femmes; puis au curé, qui était blessé, Après avoir Jlong- temps cherché, il finit par dé- couvrir un autre collègue, l'abbé O'Leary, qui était enseveli- sous les décombres. L'abbé Street avait cessé de, vivre quand on l’a découvert sous les ruines, Pendant tout ce temps-là, le
à l'oeuvre, au service du public, On le vit monter, sur les toits, bravant tous. les dangers, pour indiquer aux pompiers les en- dfoîts où les bombes allumaient des incendies,
Le correspondant du £un dit que dans ce quartier de Manches- ter le nom de Father Porter est honoré comme celui d’un héros. Il ne ferait sans douté pas très bon pour un Rév. Shields d'aller y répéter que la Roman Catholic Church fait oeuvre de cinquième colonne. E. B, —Le Devoir.
. _ Liberté!
Vers 1890, quand Sardou écrivit la pièce Thermidor où il ridicu- lisait quelques héros de la, Révo- lution, Clemençeau interpella le Parlement et bloqua l4 représen- tation,
“Mais que devient la liberté?” hurlait Sardou, peñdant que Sa- rah Bernhardt criait: “C'est af- freux!”
Certains députés très républi- cains abordaient Clemenceau:
“Mon cher, c'est hardi ce que vous avez fait là, et je vous ai applaudi. Mais la. liberté de la scène, qu'en faites-vous?
ZNon! non! rugit le Tigre. Pas de liberté contre la raison! Vous n'y comprenesz-rien.-Ea-Révolu- tion est un bloc. Je défends qu’on y touche!”
Et nous, nous n’aurions pas le droit de faire respecter l'Eglise?
Voilà qui est bien pour les Ré- volutionnaires: pas d'art pour l’art’ dans ce cas-là. Mais la reli- ‘sion, elle? Et la morale? On les laisse attaquer?
Ainsi, de braves Canadiens qui répudieraient une pièce ou une lecture contre leur parti ou leurs chefs politiques ne verront rien de mal aux profanations de leur foi religieuse? ..,
Sous prétexte qu'un livre est bien écrit, on avaälera des hor- reurs de pensées? Léon Daudet proteste, dans son Stupide XIXe Siècle, contre “l'exaltation des parties basses de l'humanité, aux dépends de la diviné raison, J'ai vu dans un jardin un massif de roscs admirables, dont le parfum grisant était contrarié et troublé par une autre odeur indétermi- née, Le propriétaire de. la rose- râie se demandait s'il y avait, là derrière, quelque bête crevée . , ”
lhoage de ces mauvais livres,
lvues et revues légères, lout en parure et en pourriture, que nos morphinomanes des sens et nos alcooliques du cerveau recher- chent toujours pour les plaisirs de l'instinct animal. Liberté des microbes et de la peste.., L'Ac- tion catholique y résistera.
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défunts; quand au
invocations s’égrenaient breuses pour cette âme anonyme,
Ces modèles étaient-ils done ir-
Àréprochables sur tous les points?
Voyons-le: à la visite paroissiale red faisaient l'impossbile pour
re avec amour, considérant cette of- frande comme un devoir -d'obéis- sance, de justice et de reconnais-
paroissial un glas tintait des
qu po es_pétilinient nom-|des éclairs ( rs aux p tions de bans, (c'est de leur âge)
mais des leurs, que Dieu avait rappelée. d'ici-bas.
Présents et verser la dime |b
saie
: Si par hasard, Monsieur le vis
: [caire s'attardait sur son troisième
point du sermon, il n'en consta- tait aucune impatience chez ses
auditeurs, tout continuait dans_
l'ordre sans bruits insolites de nncs où de toux improvisées, tous yeux ouverts et toutes bou: ‘ches closes, À la sortie de l'office
La paroisse donne tant: |de
vivent que pour le bien rel de:leurs ouailles,
secours aux
fréries ‘étaient florissantes, on s'y inscrivait en grand nombre 'et pas seulement nominalement car, croyez-le ou non, les membres as- sistaient fidèlement aux réunions même par um beau dimanche après-midi ou “un bon soir”. Dieu premier servi, leur journée ou leur soirée était plus joycuse, di- saient-ils. 1 Personne n'aurait pensé profi- dimanche des
L'oeuvre du
é aque soir c : sa chambre, Mons
intér , 4 aussi chrétiens. Dans sa pris À cha- rité il en souhaitait de pareils à tous ses confrères.
C'était une paroisse modèle, avec de vrais bijoux de parois: siens, Mais ce n’est pas un contef n'est-ce pas ainsi mes tous ? ?
curé Labelle,
roi du Nord
Le premier samedi de la pré- sente année marquait le cinquan- tième anniversuire de la mort de Monseigneur Labelle, le Roi du Nord. Tous ceux qui s'intéressent à l'oeuvre-de la colonisation dans noire province se sont rappelé avec émotion cette grande figure de chez nous, Ce sympathique disparu nous a légué une weuvre que nos corps publics s'efforcent de poursuivre tout en lui donnant une forme adaptée à notre mode de vie actuel.
On se souvient, parmi les plus âgés, de ; l’entreprise colossale conçue par ce missionnaire-colo- nisateur fnfatigable, entreprise à laquelle il donna sans réserve les plus belles années de sa vie, le meilleur de lui-même, Tant de
pense. Là où ne régnaient que les grandes entreprises forestières on trouve aujourd'hui un grand nombre de paroisses agricoles. Pour opérer la transformation, il fallut des défricheurs, ‘beau- coup de défricheurs., Monseigneur Labelle sut se faire entendre de bién des familles qui, comprimées dans les cadres restreints des vieilles paroisses, répondirent à son appel et vinrent se tailler un domaine dans les terres meuves. Qui dira tout ce qu'il dut dé- ployer de zèle pour soutenir le moral des nombreuses familles qui l'avaient suivi là-bas maïgré tous les obstacles? 11 prêcha donc l'exemple, en mettant lui-même la main à la hache comme le plus humble défricheur. Toujours au Milieu de ses ouailles, il. vivait comme eux, parlageant leurs joies et leurs peines, s'efforçant sans cesse d'alléger leur fardeau. Nous récoltons äujourd'hui 1e fruit de son dur labeur, de 508 courage jamais lassé. L'idée lan- cée dans le nord de Montréal ne s'est pas confinée à la région; la coionisation atteint maintenant les coins les plus reculés de la
générosité devsit avoir sa =
créer des paroisses agricoles bien vivantes,
Après un demi-siècle, le problé-
me de l'établissement des nôtres est toujours urgent. . Souhaitons que toujours des apôtres éclairés, de la trémpe du curé Labelle, se dévouent à sa solution.
C.-E, COUTURE, -
des Chemins de fer Nationaux
; du Canada \
. à e Niemoeller Catholique Les cercles protestants de Berlim auraient appris cette conversion
BERLIN — Les cercles protes- tants de la capitale allemande ont appris qué le Révérend Martin Niemoeller, vasteur luthérien et commandant d'un sous-marin pendant la grande guerre, enfers mé dans un camp de concentra- tion depuis trois ans et: demi, s'est converti au catholicisme,
Niemoeller, dit-on, étudiait la doctrine eatholique depuis plus sieurs mois et il aurait déclaré que la religion catholique est la meilleure forme du christianisme,
On n'a pas pu fairé confirmer celte conversion, Mme Niemoel- ler étant absente depuis quelque temps. Mais l'on sait que Île pas- teur. lui-même a voulait consulter sa femme tine dernière fois avant de prendre une décision.
Les’ autorités nazies ‘ auralent
province, où elle est en train de
imposé une seule condition #&
Niemecller pour sa mise en liber: té: qu'il s'engage à ne plus prés cher. 11 ne saurait être question pour le pasicur de devenir. apô- tre, D est marié et père dé plu. sieurs enfants.
Niemoeller à été envoyé dans
Un camp de concentration en 1947 .
pour avoir attaqué. l'Etat en dis sant que ce dernier n'avait rien à voir dans l’adininistration de l'Eglise. i
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que nous some Béatrice As vas ‘ #.
déclaré ‘qu'il.
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dernier, en congé dé convalescen- ce. M. Black retourne avec . la perspective de recevoir le grade
— —— 0" 4h 2 — qu'elle se rendra un’ mille plus aint-Malo loin à l'est. Et ainsi elle amélio- S s \ rera sénsiblement le transport dû | Comité d'Epargne de guerre: bois, Cefte amélioration de notre | président, Octave Gosselin; vice- route, c'est là quelque chose au- | président, Philippe Lambert: se: 748 1} ensSi de e AVI q
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: He babes de don fes 0 le Pia de
choisissant pour. Couvent de Saint-Joseph Laurier marchandise que ie Tableau d'honneur offrons. Quand | A GRADE Vif © Roméo pa! Un comité de cerlificats d'E-
neuf. GRADE VII — Sigrid Jensen. GRADE VI — Yvonne Laroc- que. à GRADE V — Léona Nault, Lina = | Marcoux, Adélard Marcoux, Céli- na Nault, M.-Ange Bourgouin.: - GRADE IV — Rita Larotque, Edna Nault, Irma Phaneuf, Au- rore Vandal. GRADE. III — Anpa Nauit, Georgette Nauilt, Aline Lussier, Marcel Bourgouin, Edmond Jen- sen, : $ GRADE II — Annette Nault, Aline Proulx, Jean-B, Proulx. GRADE I— Gérald Jensen, Louise Nault, Lorraine Curtaz, Lina Phaneuf, Emile Champagne. 7 Cours préparatoire — Anna Ar: chambault, Cécile Champagne, Yvette Nolin, Marcel Lamirande. a
Fannystelle Statistiques (baptêmes, mariages, sépultures)
payne est formé. Président, John Craig; vice-présidente, Alexina Boisvert; secrétaire, Joseph Mol- gat. . à
On-voit que les élections ap- prochent! Enfin la charrue à neige a passé pour la première fois, il y a quelques jours. Chaque année on demandait, non pas cette faveur, mais ce droit, et l’on restait sourd. Une fois, cepen- dant, on fit quelques verges et l'on rebroussa chemin, Mais cette fois, oh! ce fut d'un bout à l'au- tre. Faudrait-il que nous ayons chaque année une période élec- torale pour obtenir nos droits? Et comme nous sommes des gens polis, nous remercions qui, de droit, le mérite, HEC l'a
Le comité d'Etudes a nommé ses officiers pour l'année 1941. Président, Evariste Guay:' vice- président, Herménégilde Fradet- te; secrétaire-directeur, M. l'abbé Maurice Pierquin.
À
@ vr prime très intéressante est offerte pour l'orge à six rangs. |; Pour ceux qui en ont un char ou plus, il serait bon de nous envo-
yer un échantillon au plus tôt, "afin de profiter de cette aubaine.
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ra Cie Par ent Ltée
19%, GRAIN EXCHANGE ANNEX WINNIPEG
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"Ce comité, composé de 12 mem- b
res, se réunit une fois la semai-
Les registres de la paroïssc in-|ne au presbytère, comme nons diquent 14 baptêmes, 2 mariages |l'avons déjà dit, et l’on discute et 4 sépultures au cours de l’an-|les problèmes du jour. Depuis un née 1940. certain temps, le but des études
Le premier décès est un enfant |fut la Caisse Populaire, Nous de Hector Guilbeault, Gary, âgé sommes arrivés au terme et nous de 5 mois, espérons sous peu l'installer dans
Le 6 septembre, Odilon Arnallla paroisse. décédait à l’hôpital de Saint-Bo-| On me prie d'annoncer que les niface, à l'âge de 63 ans. Lui sur-|portes sont ouvertes à tout le vivent, son épouse, née
Suzanne | monde, Chaque paroissien est le
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Une lumière qui dirige
VEZ-VOUS jamais remarqué que la silhouette d'un élévateur du Pool ressemble à un phare? Ily à quelque chose de vigoureux et de fort dans son en-
semble, s'élévant vers le ciel au coucher du soleil. C'est un guide sûr pour acheter, tout comme le pare est un guide pour le marin vigilant qui brave les mers en furie.
11 est aussi solide qu'une forteresse parce qu'il est basé sur le roe de la coopération, : Le support des ices du ‘Pool fortifie le fondement sur lequel le mouvement coopé- ratif est établi.
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Bureau-chef: Regina
CEE
y, eanson, le Ferland, M, l'abbé E.-A.. Chamberland, Emile Gau- thier., RS
| Deuil pour M. le curé
Dans le courant dela séimaine, M. le curé recevait ‘un message jui annonçant la mort de sa soeur
aînéé, Joséphine, religieuse de la | sième Communauté du Bon-Pasteur de
(tan:
sa vix religicuse. Elle est morte le 1er’ février. ” Soeur Marie-des-Séraphins fut toujours institutrice et enseigna avant d'entrer au couvent, et continua d'enseigner durant toute sa vie de- religieuse, dans diffé- rentes maïîsons de Za Communau-
RO Moyens: Re. ét suc- “+ 1 PR Al HAT Re Ordinaires . * .
à On nous:informe que Mile Cé-| Bonnes cile Gagnon, de South-Junction. | Moyennes entrera bientôt au couvent des
comme postulante, South-Junc- tion donne, en cela, un bel exem- ple à la paroisse-mère, qui est Vassar, puisque ce sera la troi-
ëè personne qui renonce au |: 5 rer à Dieu | À
DNS mitie ef voeux de 72-2808 bonheur à la future épouse du Christ, ;
Notre dernière partie de car- tes, le 2 février, avec projections cinématographiques, a remporté la jolie somme de 825.85, Elle fut donnée par les familles Boutang (Sieve, Frank et Mme Johnny Boutang}. L'autre partie aura lieu
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"PEL, 98452 Prix déchargé à Fort William ou Fort Arthur PRIX COMPTANTS A WINNIPEG
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té, mème aux Etats-Unis. Elle alla | je 16 février, et sera donnée par Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi enseigner à Chicoutimi à trois|les familles Carpentier et Beau- Févri 3 4 5 6 17 s reprises qd gg dd on cage. : 4 |: PAR Moteortn : la paroisse, du ; » Coeur); une deuxième fois com-| Mme Andrew Owen est reve- dr 4 Rs Er Le 74 735 nn» me directrice de l'Ecole Norma-|nue au milieu de nous, après uñe Nord No 3. 68% 68% 09% 70% (l le, lorsque le gouvernement en absence de 15 jours, à Collins, Au 06% 66% ‘7% 68% ü fonda une à Chicoutimi; et la |Ont, où M. Owens travaille, Paf-| No 52e 64 64% : (65% 66% 66 troisième fois comme provincia- | tie le 17 janvier, elle nous est re- | No 6 2 63% 63% 64% 65% 65 le, quand la Communauté orga- | venue le 1er février, heureuse et | Fourrage . 61% : 61% 62% 63% 63 | nisa cette province religieuse. | contente. Sur Lg net … 73% 74 74% 75 75 Enfin, l'âge et les infirmités l'o- RTE No 1 Durum…… 66 66% 66% 67% 67% bligèrent à revenir : définitive-| M, Albert Brun, marchand et! No 2 Durum... (60% 65% 65% 66% 07. ment à la Maison-Mère, où elle | fermier, joue de malchance, 11 y | No een 04% 4% (64% 65% 66 continua encore à enseigner, pré- |a environ un mois, il perdait une | Inf. Nord 1... #e + à LC , He a parant les jeunes religieuses des- |belle bête de trait, et l'autre jour.| Int. Nord 2. RE ie Gti Uù à tinées à l’enseignement. une autre. encore lomba fou- | nf. Nord pe n 70% 71%: 71% 3 Départ pour le couvent droyée, une tige de fer lui ayant à 07%. 68. 68% 064% Rosa Desmarais, fille de feu | perforé le poitrail jusqu'au coeur. Charbotsoes Ÿ 6: 65% 65% Frs Desmarais, est entré au no- ÉD e——— ? V % hr . Rej. Nord 1... 68 68% viciat des Soeurs de la Charité, La Salle 66% 66% mercredi dernier. Elle est allée Rel. Nord 3 63% 63% y rejoindre sa soeur aînée, déjà| Dimanche prochain, 16 février, | Printemps 1. snsièsei mnnssie professe depuis quelques années | aura lieu À ja salle paroissiale. | Printemps 2... etre penis et actuellement à la Maison-Mère | une partie de cartes, au profit HE ol 3 “mrsires Ces de Montréal. de la Croix-Rouge, organisée par ie < 1% s% En Quarante-heures re de la Croix-Rouge di e #1 31% 1% pad Abies, vides en foule! L'heure | © pa 4e] 4 Les Quarante-heures, au” Coù-| Love ct la cause est belle. Et 294 29% 29 vent onf eu lieu du 3 au 5 Me cel illeurs, est-ce qu'on ne s'a-| 2° 33% 33 32% nos. RS OA muse pas toujours bien à La|ORGE 44 à , Salle? .;; Venez, nous vous atten. | C.W. 6 rangs …. 4% 44% 4% Le comité organisé pour la ven- | dons. © 1. 4% 44% - 44% te des certificats de guerre a com- à 43% 43% 43% mencé son travail dans toute la 42% 42% 42% paroisse. 1 Sur vole net... 43% 43% 43% LIN ; La : à Tableau d'honneur C.W. No 1... + ur 7 2 er L + d RER ÉW No3 194 10 424 1424 140% (0 GRADE XII Odile Saint-Pier- A EEE À 0 No 4 © 130% 135 137% 197% 135% 15% re, Jean Guppy. 16% 151% 153% 153% 192 151% GRADE XI -— Helen Stefura, médaille; Marcelle Désorcy, An- 46 46% 47% 47% 47% 47% gèle Gauthier, Vlasta Matejka. 41% 41% 42% 43 43% 42% GRADE X = Lucie Goulet, Af- 39% 30% 4t %# 42 . 42% 41% ma Laurin, Léa Arpin. 39% 39% 41% 42 42% 41% GRADE IX — juanita Dawson, 364 36% 38% 41 #4 der médaille. NE ‘ | 5 4 45% 47 47% 47% 4 GRADE VHI — M,-Jeanne Du- gas, Claire Lauris, Suzanne Mar- | OPTIONS — WINNIPEG coux, Lenore Mourant. : GRADE VII — Madeleine Jean- 71% 71% 744 son, imédlaitle ;: Pearl Bosiak. 78% 70% 79% GRADE VL— Helen Funk, Eva | prennent | (CLODFE ns des dans Us a" Bohémier, $ 55 GRADE V — Edouard Arpin, D miss se à à Luciert Marcoux, Lucienne Mar- Uetobre. 30% 51% 11% 31% GRADE {V — Reine Therrien ||oRGE ps su 4x ‘ut Julieité Audetie, Angèle Arpin,!| MusKee-Kee, le tonique éprouvé, | LS ésesorétenmssense 2 4 4 Cinire Marcoux, Jean-Marie Au | qui rémeit à fois ur 10. Prenez D Res AON VUS CO. OP dette. LIN à GHADE HI — Jacob Funk, Ai-|1 Mas 10% 155 157% 157% mé Therrien, “Pierre Scotnicki,|N Le délai est souvent eofteux.|}} Juillet tions ART 159 15516 155% John Grossman, ARR Pre Demandez ce tonique différent, | er sms spin 145 146 149 150 ue, Roger Arnould, Tina Funk, fait, Mus-Kee-Kee. Chez] G ; É à GRADEI — Emma. Jeanson, | te votre pharmacien, mme A8 JON 48 50 Irène Arnould, Frank Antoniuck, , Juitièt =... 48% 485% # Nellie Zeglen, __ nn Octobre. els ol she As ste ' y ( Le 6 \ y à qui à grdfhge Lan op etant de PA MES Pet PU LUE uni cière hits) AT Ne En eee A GTV Sols à
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tion , disons les jécistes." Chaque section se com: | ou. 1e ms gui per af ts et de militants ouchefs-d'équipe. |icrnationales de nouvelles au ser-
de Chacun de ces chefs est nsable de son équipe. Avec |vice de la franc-maçonnerie, c'est son équipe il doit, aux réunions, faire
uête sur le milieu [un des dangers les plus graves “où l'on " ce qui s’y passe, au point de vue chrétien, |pour Pesprit chrétien et qui ps de. l'équipe doit,. Si ,
= = Se 7 er F er A 2 : “ous 1 lé vie, agir sur ceux qui le rent, | 7 Rr-1 tendre plus chrétiens. On n’est pas jéciste pour soi, he ah ge er gt mais pour les autres. Chacun doit se K, se former, |" toutes manières. ce PSP mais toujours afin d’être un meilleur instriment de re-|, 4. situe de christianisation, toujaurs en vue de la masse. , : : ]aanisime dans les cerveaux ‘et 7 "C'est le système que les coïnmunistes pratiquent: des |dans les coeurs.
chefs qui endoctrinent une équipe ou celluie; des cellules Pagisiime de la rodte
qui s’emploient à conquérir la masse.
108 À mis écrit: “Ce qi TA
en fonction Ce la musse, n’est pas Ac pas chrétien”. (M. Declercd). { Ou’evcore cette directive du P. Lelotte, p. 34: “S'il faut, pour assurer le suécès de l'avenir, faire un choix à nee et sévère des premicrs membres, cela ne peut
tre qu'üne étape en vue de la masse”.
estifs. ‘ L Peu | ‘Le journal moderne répand le mouvements |paganisme par les. erreurs qu'il
è publie, mais encore plus par les vérités. qu'il cache, Le silence
è
mn . L 1 = tee | Fe
vcrtouren
Puissance nouvelle que ia ra- 0, inais qui dépasse déjà en ef-
Le civisme dans
Le civisme, comme
as conçu, organisé | à on catholique, n’est
ou sens social,
F on Va #i bien défini, est Le prêtre qui ambitionne de sauver, de conquerir la ue amour du prochain dont les
au Christ, peut done se consacrer iui-même à la | manifestations débutent au foyer, pont d'un groupe, en lui insufflant l'esprit de l'Action |se continuent à l’école, s'empli- catholique, Et ce groupe, objet de ses sollicitudes, multi- |fiént avec les années et s'éten- pliera, un jour, son action sur la masse; car toutes les | dent era ot : gré a ge gr activités * e groupe, toute + vie, auront été orientées à her à dr uno mere) ns rayonner le Christ sur son milieu.
tion, On juge parfois de l'influence d’un groupe sur la pa- TE be doit avoir pour base ‘par le nombre de ses adhérents. C’est loin d’être re ve mg Nos ones ss toujours juste. . ne doivent pas se contenter de Pénétronn dans un endroit où 200 personnes s'amu- NN UE CE sent bien. Magnifique! Mais en même pypa ve quelque part, ”
doivent se pénétrer d'esprit évan- dix personnes qui ne pensent pas à elles-mêmes, mais |gélique, graver dans leurs âmes
ilya
à L masse des Canadiens français du Manitoba; ailleurs, len traits de feu les maximes du 30 jeunes qui font sérieusement enquête sur la vie, afin |Christ—maximes qui sont règles d'être elles-mêmes plus chrétiennes et faire leur part pour | de vie:
rendre leur milieu plus chrétien. Où donc travaille-t-on |, “Que sert à l'homme de gagner le plus pour la masse? l'univers s'it perd son âme?
“Foites pénit *
Notre-Seigieur n'a pas manqué de zèle pour la masse, | rirex ro 46 ED die sd 8
Et cependant, Il a cru devoir consacrer le meilleur de! “Faites aux autres ce que vous Lui-même à douze hommes, et par eux et leurs successeurs, |voudriez qu'on vous fit”,
sauver le monde. “Renoncez-vous vous +: même,
: j ez votre croix et suivez-moi”, Rèvons donc de conquérir la MASSE au Christ; mais dr rà doivent surtoët se con- sachons être pratiques: consacron$-nous à l'Action catho- | vaincre que la dévotion essentiel- lique dans un Mouvement officiellement reconnu. Quelle et indispensable est la dévo- nous ÿ soyons chefs ou simples membres, nous exercerons | tion à “état de grâce”, Dans ces une
ence “hrétienne sur notre équipe. Puis, avec jme _sculement s'épanouira dans
vivons, celui auqu us, ”
Léo BLAIS, prêtre.
grand monde, mais le monde où moy nous nous devons par amour pour
forts unissent les mem- ine famille: même foi, mêmes sentiments, mêmes res- sources, même honneur, tout est en comtoun., La pratique de la religion, basée sur un esprit de foi intense, ést le lien le plus puissant.qui puisse unir {Ês mem- bres d'üne même famille; il com- munique -à l'amour naturel une force, une durée que rien ne peut briser, T: les membres profi- tent des ressources du foyeg et contribuent à les augmenter. Les sentiments sont aussi les mêmes; la joie de lun fait aussi {la joie de l'autre et la croix qui parfois pèse lourdement sur les foyers est grandement adoucié par les sympathies de chacun. L'honneur aussi bien que l'infa- mie: cu la honte rejaillit sur cha- que individu. La famille est donc le terrain
La Sauvegarde
notre équipe, grâce à Dieu, nous améliorerons, ñon pas le pe ce ro M-hlle feu endroit où
canadienne-françaisé à charte fédérale.
Er sm Dis de élue à 2
1
A. CARDIN, Agent général
606. AVE. BANNATTNE
188
cinéma pourrait se au service du bien. Mais l'est-il?
ons mauvaises, L'r les yeux fascinés d'un au- oire passif défilent des mondes de luxe, mondes de plaisir, mon- des de cupidité, qui ressemblent étrangement x mondes miau- dits par le Christ, Tout cela tfou-: ble. endort, fascine, pousse aux régions du rêve qui devient sou- vent l’antichambre de l'immora- lité.
Contre toutes ces forces trop !
souvent encore au’$érvice du mal, des idées et des moeurs païennes, suffit-il de: maugréer? . Non, Il
|faüt surtout, réagir pour se pré-
faut agir pour iranstormer ces |!
forces du mal en forces du bien, Et pour. faire l'un et l'autre, il faut se recueillir, se. soustraire pour quelques jours à l’enchante- ment de la vanité”, se cacher pour quelques jours dans la ‘“bienheureuse retraite” d'une Maison d'exercices spirituels,
D. LEVACK, C.SS.R.
la vie de l'enfant
providentiel préparé au dévelop: pement du civisme... L'enfant doit apprendre bien jeune tout ce qu'il doit de reconnaissance à son papa et à sa maman. Ils lui ont tout donné, tout procuré; bapté- me, enseignement religieux, bons exemples, nourriture, vêtements, éducation, l'instruction, etc., etc;
Quel enfant restera indifférent en calculant tout ce qu’il a coûté à sa famille d'argent, de soucis, d'inquiétudes, de veilles, depuis sa naissance, Il se sentira prêt à tout pour leur prouver sa recon- naissance, N'admettra-t-il pas qu'il est tenu de leur donner l'ai- de matérielle qu'il manifestera de mille façons? Il rendra toùs les services possibles d’après ses forces et ses talents. 11 aura de l'ordre pour placer ses effets, il aura soin du mobilier, de ses vê- tements, de ses livres afin de les conserver propres. Il sera prêt à servir. Pour épargner du tra- vail à sa maman, il enlévera ses caoutchoucs, ou s’essuiera
maison. Il économisera tout .., Il obéira en tout à ses parents. Il évitera les cris, les éclats de voix sur le trottoir pour ne pas déranger les voisins. [1 bercera la petite soeur, pendant que la grande soeur. préparera le sou- per pour laisser reposer la ma- man. Voilà de bien petites choses qui développent grandement dans l'âme de l'enfant le civisme fami- lial. Qu'il offre spontanément la meilleure chaise à sa maman, qu'il apporte le’ journal, les pan- toufles, la pipe À papa lorsqu'il revient, lé soir, de son travail, Qu'il prépare la fête de ses pa- rents, de ses frères, de ses, soeurs. Qu'il leur âchète un ca- deau au moyen de ses peliles ë- pargnes. Que les grands garçons et les grandes filles sachent trou- ver au foyer leur plaisir et leur agrément. Qu'ils donnent bien vite des nouvelles s'ils viennent à s'éloigner et qu'ils s'efforcent de s'acquitter envers leurs pa- rents de leur detie de reconnais- sance, voilà du civisme chrétien bien compris. Gfberte ALLARD, .
j Saint-Norbert.
—{Grade XIL
les | pieds avant de pénétrer dans la |
veux ardents sa vie re procu coup de gloire à Dieu,” à l'Action catholique, :
Notre présidente, en une tou-!
chante, adresse, exprimn avec 6-
motion tous ces sentiments à Gé. |!
cile, necompagnés de: l'assurance du constant souvenir de ses soeurs jacistes, pour tant de bien- faits spirituels, matériels, en lui demandant de prier chaque jour pour elles! :
Un crucifix, centre et lien des grandes amitiés-fut offert par la Section à sa regrettée secrétaire, La nature était en harmonie, partout c'était du blanc et encore
u blanc, notre salle ‘blanche aussi, décorée aux couleurs jacis- tes, vert éspérance, nous réjouis-
Hé À 2
LOUE
En termés émus, Mile Le Moul- lec nous remercia, nous dit com- bien celle était attachée au beau mouvement de Ja Jeunesse Agri- cole, qu’elle s’y intéressera enco- re en priant pour nous, en sui- vant nos progrès et elle nous cita ces paroles de uotre aumônier diocésain: “Une fois Jaciste, c’est pour. toujours” Avec âme on chanta “Je-pars, le devoir m'ap- pelle” et le chant des Adieux: on prit une photo, puis on se sé- para emportant de cétte rencon- tre un réconfortant, durable et doux souvenir, chacune enten- dant Cécile lui murmurer: Quand dans le sanctuaire J'irai prier avec foi, :
11 me sera doux de croire La J.A.CF, prie avec moi,
Une Jaciste.
Saint-Norbert, Man. Je 4 février 1941,
Mile G. Laporte, Saint-Boniface, Man,
Chère Mlle Laporte,
Les petites Croisées de Saint- Norbert sont heureuses de vous offrir leurs félicitations et de vous assurer de leurs prières pour le succès de votre nouveau poste de secrétaire,
La prochaine fois, nous vous barlerons du résultat d'une con quête que nous avons entreprise dans nos familles. Il y a eu des victoires qui vous intéresseront certainement,
Nous travaillons très fort et nous aimons beaucoup, beaucoup notre Croisade,
Vos nouvelles petites amies, Les Croisées du Couvent de Saint-Norbert. ——— À D 2 ——
Illusions dans les oeuvres
J1 faut se méfier des apparer- ces comme-de. ses. goûts person nels, Rendre un simple service vaut souvent mieux que s'embar- quer. dans une oeuvre à tapage, Entout il faut aller au plus pres- sé. Mais va d’abord à ce qui pro- duira des résultals vrais ....
Que de choses s'entreprennent
Fr vanité et qu'on attribue À la
iété! Que me servira pour ma floire une cathédrale, si les pau- vres n’ont pas même de chapelle? Parfois, c'est vrai, c'est une €a- thédrale qu'il faut. Mdis d’autres fois, c'est un rien du tout de cha- pelle, Ceux dont l'âme est droîte discernent ces choses.
Ce qui presse, ce qu'il faut dé- eéndre, ce sont les principes fon- damentaux. Si tu te contentes de bèêtir et d'embellir des chapelles, sans chercher à convertir les âmes, l'impiété, finissänt par ga- #ner. emportera tes églises et mon Eglise.
“* Le Catholique d'Action”, PALA
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lez et rayonner le Christ votre vie chrétienne”, :
+ + Fr:
Quinze ans ont passé; les pe- tits croisés sont des jeunes gens qui n’ont Jamais manqué à léur promesse. Dans les écoles, les collèges, à l'usine, il y a mairite- riant de nouveaux chrétiens. Ï]
par
agricole, bref aux problèmes les
l'esprit du Christ,
L'autre jour, le vieux sacristain se désolait en montrant à l'abbé comment. son osfensoir. ‘était changé, “Tous les rayons se. dé- dorent”, disait-il: Mais l'abbé de répondre: “Je ne m'en mets pas en peine, tant que mes estensoirs vivants aire leur lüstre”.
+ +
Comprenez, chers croisés...
Rayonner le Christ! y avez- vous pensé? Qu'avez-vous fait pour cela hier? Qu'allez:vous fai: re aujourd'hui? Tel défaut, le mensonge, la colère où la pares- se, qu'en ferez-vous? Prenez gar- de! le vieux sacristain vous dirait que les rayons se dédorent...on a de la peine à reconnaître le Christ à travers tout cela /,. gar- dez brillants vos rayons et Jésus vivra par vous,
Chroniques
Fanuystelle
Croisés—La paix... paix mon- diale ... oui, supplions le Roi des Rois de nous l'accorder bientôt. Redoublons de ferveur, lors de la prochaine journée de prières na- tionales, à cette intention.
Croisés Votre méthode est une excellente formation pour vos chefs. Ayant l'habitude de pren- dre la parole, aux réunions d'é- quipe, ils sauront! s'exprimer avec précision devant un auditoire pins considérable,
La_Broquerie
JLAC.-Nous avez bien raison, chers Jacistes. Combien notre vie serait différente, si nous la. vi- vions d’après nos croyances. Quel contraste entre nos vies de “chré: tiens” et celle des “premiers chrétiens”,
La Salle
Croïsés—Je suis convaincue qué Je bon Jésus est venu avec joie dans le coeur des petits Groi- sés de La Salle, 11 y a tant d'âmes qui se soucient si peu de la venue de Jésus dans leur coeur!
Mariapolis
Croisés-—{C'est un bien beau mot \W'ordire que le vôtre, chères petites Croisées! “Bon visage”. Ce sera dur parfois de garder un visage serein, souriant, mais cela en vaut la peine,
Notre-Dame-de-Lourdes
Croisés-Vous faites preuve d'un bel esprit de charité: conti- nues à toujours voir dans la per-
:
équipe soient |. JE.C.F.—J'aime vote mot d'oës le /pro-\dre: * ;
.LE.C.F.—Votre décision, chè- res Jécistes, d'être à l'avenir
Lettre à Prosper, cultivateur
Mon cher Prosper, [frances de ceux à qu va ce linge, Dans da gherre ectuslle. 108 | 27,008 prie à en ere on
4 Et ‘ nouvelles que les jour et la Le radio nous donnent s’i ent mi À rl parler pe “jo © fem- surtout aux actions des soldats, à | éüsst re “ap x
mes. d' PRIT rares
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por vres dé g L mères de familles qui ont quatre. ane partie se da Population qui | Gris lu Jptlent ë À LU [As # agit dans l'ombre, sans- bruit, Per pe À sans publicité, qui fait son devoir |: Je suis sorti-de » quotidien dans des conditions qui |$22 impressionné # sont parfois stoïques: ce sont les | °bseur, qui se fait ur femmes. ra po foy Fe: af EE Tu vas peut-être sourire en PAF. CAMION. PER Ven, pensent que je deviens féminis- ee Les M gg de te, mais, mow cher Prosper, it y|j, PRE | élatte paie es 1, a vraiment des femmes qui don-| oi" Voie sa el nent de grands exemples et qui C4 arr: tal a Ve gén À s'imposent à notre ‘admiration. |; de rs se 1 agé» Je pense d'abord à ces femmes |Paires de chausseties qu'elle avait qui, en Angléterre nisgré les iricotées elle-inême. ‘les. sol bombardements, malgré la ten- Lo Oui, my er à serre sion’ du’ dânger, les nuits passées sm A shonire Comment: Fa dans ‘des caves, maintiennent |" :-: et clle était toute fière de avec beaucoup d'adreise à UE Hu montrer son ouvrage, l : foyer: les difficultés ne leur man: |, Je l'uvoue que, rentré chez moi, quent pas, il leur faut courir au tie Me suis gratté la tête, Je pen” ravitaillement, veiller au budget, | sais à mes élèves. Qu'est-ce qu'ils élever les enfants, les envoyer à|f°n8 eux, pendant ce temps 147. : l'école, préparer. les.-repas du Sans ‘doute, lorsqu'ils seront: mari et surtout maintenir le mo-|#"Ands, ils auront bien des ocea- ral de la maisonnée, encore une |5ions de, servir leur ‘pays, mais fois malgré la tension nerveuse | °'est-bien loin ponr eux. Le en: et la fatigue physique. Ces fem-|emain,sen chisse, je leur ai rs mes. sont -admirables. nr bg pt y y en a d'autres dont le rôle [1 "€ # pete lle € NE, est encore plus difficile «et plus | ie on eut Aire UN Mare ingrat: celles-qui vivent dans les |? pe rue ‘ dape d pays occupés l'ennemi, Beau- | PAYS QUE est en guerre f cup séai sépaléds de leur mari |P9nss furent très variées et cer- où de leurs fils, et les privations us + Dar rg reve” Un élève de toutes sortes les atteignent due | P"°10 qu'il, voulait inventer rement, _As-tu déjà songé à la un noiveau modèle d'avion pour souffrance d'une. mère qui :n'a|°"batire ceux des Boches; un pas de. quoi donner assez à 1a00- autre qu'il voulait dresser son ger À ses enfants parce que l'en. chien pour attaquer les parachus nemi a pris les vivres! De quel rat conemis; un autre voulait, héroïsme : soutenu jeur coeur | */"e sauter des ponts: dans: l'en« n'est-il pas capable! semble, pas mal de réponses ex- Ch Tiés ji travagantes, Je leur ai dit: mes ïhez nous, Dieu merci! le cou-| enfants, tout céla c'est trés bien, rage et les sentiments, des fem-lipais ce n'est pas aussi pratique mes n'ont pas encore été, mis à |que les chaussettes tricotées par
d'aussi brutales épreures, mais |j, petite fille: l'avion d'Edouard cependant, si l'on pouvait savoir | ou 13
e chi J - de combien de milliers de petits | ils allont de services que le Paire actes généreux, de sacrifices dis:| 4e bus bien chauds qu'on enverra ares fes ler de tant} un soldat? Une main se lève:
nr déméndes pie 4 pour. |. : —Monsieut, ün va leur envoyer quoi je te parle de cela? Eh bien! , dû labac, nous autres!, Voilà qui voici, Avant-hier, je suis aléwi-|05t 1ieux,- dis-je, Un autre se siter une institutrice qui était | ve: — On achélera des timbres malade depuis plusieurs jours: je de guerre, Très bien fis-je, en
aitient .
là-dessus, elle se.
voulais savoi= si je pouvais faire |conclusion. Pendant que les petisl ?
quelque chose pour sa classe.|tes filles font du tricot, vous, vois La pauvre fille avait une rechute |11lez faire des sacrifices et meta d'une méchante grippe; rien deitre des sous de côté, que vous bien: grave. j'espère, mais elle nivrétérez : na Gouvernement. et déjà risqué d'attraper une pneu- [tome cela tout le monde aidera:
en-conlinuant à faire l'é!nos soldats, …. Scouts AA cole, et le médecin lui à interdit! Mon cher Prosper, je n'ai pas, de quitter la chambre avant huit |la préfention de croire que les jours, Tout en bavardant, j'étais | quelques sous de mes élèves el intrigué par une pile de linge plié |les chaussettes de la petite fille! sur su fable, Elle m'epliqua que | vont aider à gadier la!
. qui a 4 jera
nes:
celte’
classe, de corriger | solidarité à: tous. les Ages et de
préparer les exa-
mens, et ça ne Inisse pas beaucoup de temps. Sa réponse la dépeint toute; “Quand ou pense aux souf-
devant un méme devoir: mériter la Victoire, {
foutes les classes de 14 socicté
| effroyable. Après or som arrivées, exténuées, n pleine nuit, à C . . ; nous a- .wons réveillé ton beau-frère, M.
É ment èàr , devant Ne LR RS
4
æ
il
qe te
en train de|devoir de pensions | rents,
Gin dépôt d'u ons, abandonnant petites choses. Trente
“Conime: marchant. succes- | Mariage?” (1) est un livre
charrettes, €
re parents | fants.
7: ci obtenir
t jama .
père 4 pu tenir
de piqûres d'huile
phrée, mais enfin, nous étions
sauvés. Que de fois nous avons
remercié le Seigneur de nous
avoir fait connaître le scoutisme,
qui a permis à deux pétites filles
de pouvoir passer indemnes au
milieu d'une si grande bagarre . .” DE
Lettre de bébé à ses parents Papa, Maman, L
Lorsque vous croyez: que je
:| dors, vous-causez de moi et de la
et embouteillées, N
dans une grange entre et Nevers. Le lendemain
d ]
& 5
Fiitil
l'assistance à la mes- aumSnier militaire, Nous atteindre le soir même nd où nous avons cou- une grange, chez de gens émus de voir tites toutes seules. Mais c'est l'étape suivante qui
meilleure manière de m'élever. Voiei mon avis:
Lorsque vous me donnez un ordre, ne le donnez pas deux fois. Si je n’obéis pas tout de suite, fouettez-moi; je ne recom- mencerai pas.
Ne me dites pas: “Si tu obéis, tu auras du sucre”; je ne dois pas obéir pour avoir du bonbon, mais pour faire la volonté du bon Dieu.
Pourquoi m'appelez-vous: Bé- bé, mon petit Chou, mon petit Chat, mon petit Ange? je m'ap- pelle Jean: dites, si vous voulez: Petit Jean.
Lorsque vous m'avez donné une punition, exigez que je fas-
:
laisser parler les lettres que vous m'envoyez... Elles vous raconteront ce qu'elles su-
:| bissent depuis le moment où
Un chapitre spécial, traitant du surveillance des pa-
pporte à ceux-ci ! Ju- e ee-srablé . de
ficilc.et angoissant aujourd'hui. Done nt préparer son vrait avoir lace dans > oder it a sa p foyer, afin que tous puissent y venir au besoin, parents et en- Tous les éducateurs et édu- catrices, en général, tant reli- gieux que laïes, tout en y trou- vant leur profit, pourraient en rec der la lecture à ceux dont ont charge d'âmes. Les jeunes époux, si souvent dupes de leur ignorance en cette ma- tière, bénéficieront de ces ensei- gnements.
Pour toutes ces raisons, nous ne craignons pas de recommander ce livre, “Comment préparer son mariage?” et nous soghaitons vi- vement que la 3e édition recoive du public le même encouragement qu’il a accordé aux deux premiè. res.
R. P. J.-M. SURPRENANT, OP.
Curé de N.-D. du Rosaire,
Saint-Hyacinthe, PA Le 210 pages, $e édition. Le
sous, Franco: 65 sous. En ven- te chez l’auteur: P, A.-M. Granger, OP, Saint-Hyacinthe, P.Q.
n'en aurai plus peur. Et j'ai be- soin de craindre votre justice.
Ne mentez devant moi,
pour me dire que saint Nicolas va passer ou que Croque- mitaine m'emportera. J'ai besoin que vous me disiez toujours la vérité.
Apprenez-moi à bien prier en priant bien vous-mêmes.
Ne me punissez jamais lorsque vous êtes en colère; je croirai à votre colère, mais je ne croirai pas à votre justice.
Punissez-moi: lorsque j'ai men. ti, lorsque j'ai été gourmand, lorsque j'ai été impoli, lorsque j'ai désobéi.
se. cette punition. Autrement, je! Ne me dites pas toujours en
4
À
\
:
m'embrassant: “Dis, chéri,- tu m'aimes bien”?.Cela me donne l'envie de ne pas le dire.
Ne tolérer pas que je sois mé- chant pour Gaston, pour Emile, pour Jules, pour Marie, pour Berthe, mes frères, et mes soeurs, et pour Tiby, notre netit chien.
Chaque soir, n'oubliez pas de me donner votre bénédiction.
Ne dites pas que je ne sais pas écrire. Mon parrain a pris la plu- me, et je lui ai donné mes idées
à moi. PETIT JEAN.
Pour nettoyer les cartes à jouer
Pour netipyer les cartes à jouer, il y a plusieurs procédés selon le degré de. graissage des cartes: légèrement sales, elles se-
ront remises à neuf si on les frot-|
te avec de la mie de pain; plus sales, frottez-les avec du son lé- sèrement chaud: très sales, fai- tes un tampon d'ouate et frattez avec de la benxine,
je les reçois jusqu'au: point où elles paraissent dans le “Coin”. " P
“Après nous étre faites nee secouer, nous sü- üôns d'un soupir de. soula- gément nôtre arrivée au bu- reau, de. la “Liberté”. On
me PR Dre Si
Grand qui nous accueille avec joie, +nous lit avec grande atlention, sourit quelquefois aux gaïs propos que nous renfermons. De là, nous passons à l'atelier. Très perplexes, nouûs nous de- mandons quel sera notre sort dans cette salle où on entend le bruit de grosses machines qui tournent... On nous place à l'une d'elles pour y subir notre premier sage de transformation. Le “linotypiste” écrit ‘en carac- tères d'imprimerie chaque lettre dont nous sommes composées, de sorte qu'au bont de quelques moments, nous sommes placées ligne par ligne pour former des colonnes, telles qu'elles pa- raissent dans le. journal.
Après être ainsi placées, le “metteur en page” prend un large rouleau en caoutchouc, l'imbibe d'encre bien noire et le passe sur notre dos... Brrr! nous en avonc le fris: son! Il nous couvre ensuite d'une feuille blanche tout comme s'il voulait nous sé- cher avec un buvard. Cet- te feuille d'une colonne seu- lèment, revient sur le bureau de Mére-Grand:;,. Que ve- nons-nous donc faire de nou- veau ici? Voici: Il arrive souvent que les caractères soient mélangés, ou que des erreurs se soient glissées, alors; il faut relire attentive- ment chaque mot et signaler les fautes. Ce sont les pre- mères “épreuves”. Elles sont ensuile rapportées aw lino- typiste qui seprend chaque ligne où se trouve une fau- te. Le “metteur en page” maintenant, au lieu de lais- ser nos colonnes, isolées, nous met les unes à côté des autres dans un cadre de lh grandeur d'une feuille de journal. Quand il. à tiré une autre épreuve avec du pa- pter grand fcrmat, nous re: tournons encore chez notre Mère-Grand pour qu'elle jet- te un coup d'oeil sur notre apparence et voie si par ha- sard il ne reste pas quelque faute.
Voilà la première élape de natre transformation. Nous vous donnerons un aperçu de. la deuxième la semaine prochaine". MERE-GRAND.
Sandilands — Hermine, Denise et Edgar Freynet,
C'est bien vrai, Hermine, que j'aime beaucoup les petits en- fants. Je m'intéresse à vous tous, et rien me me fait plus plaisir que: lorsque vous me faites part de vos travaux, de vos jois et sur: tout de vos progrès. Revenez-moi encore souvent! ‘ ;
Mes petits-enfants “écrivent _
? le 23 janvier 1941. Chère Mère-Grand,
Me voilà! Je vous écris dans une autre année, 1941, que je vous souhaite très bonne.
Je, veux vous parle: du chant “Excelsior” qui était un de nos numéros pour le concert de Noël. Il y avait trois parties: la haute, la basse et le soprano. J'étais dans le soprano. Notre maitresse de chant avait simulé des mon- tagnes sur le théâtre, Il y eut une des élèves qui prit la place du jeune homme qui était mort. On était toutes habillés de noir... Le chant était en anylais et racon- tait l’histoire d’un homme qui est mort gelé dans la neigé: En mou- rant il portait une bannière sur laquelle était écrit, “Excelsior”. Je vous assure que c'était beau!
Avez-vous eu un bon Noël? J'espère bien au moins: Jai eu du plaisir et beaucoup de ca- eaux: une lampe pour étudier ét des bas. J'ai reçu à peu près six cadeaux,
Une petite amie anglaise,
Jean ROBERTS,
Saint-Lupicin, Man, le 27 janvier. 1941. Chère Mère-Grand,
Il a bien Jlongtémps que je ne vous ai pas écrit, Je vais à l’école et je ne suis pas trop sage, J'ai un frère qui a eu la pneumonie. Depuis le mois de mai il est au
lit, mais il guérit quand même.
J'ai été me faire arracher une dent. Elle ne fera plus mal.
Je prie pour vous et. pour les malades, car il y en a beaucoup ici. Nous ne sommes que neuf en classe aujourd’hui. Un bon bec,
Une petite-fille nouvelle,
Rita SOULODRE. + *+
Vassar, Man,
| “ le 22 janvier 1941.
Chère Mère-Grand, .
Je suis bien contente de vous écrire. J'ai eu huit ans le 18 ja vier. Maman et papa m'ont donné
+
un livre pour “couleurer”,. J'ai eu aussi un beau gâtèau avec huit chandelles. Papa travaille dans le magasin de grand-père Beau- dry. Je suis dans le grade II; No- tré maîtresse est Soeur du Sacré- Coeur de Jésus. Je l'aime .beau- coup.
Maman a tricoté une crémone pour ma petite-soeur Jeannine. Mon petit frère Robert a fait sa première communion à la messe de minuit, Papa a chanté le “Mi- nuit, chrétiens”. C'était bien beau, car il ne chante pas trop mal.
Je termine en vous embrassan bient fort, sr
Votre. petite-fille qui vous sou. haite une bonne et sainte année.
Yolande BEAUDRY;
Je serais ‘bien fière
ë Saint-Adolphe, Man., L
Vassar, Man, le 22 janvier 1944 Chère Mére-Grand, D Je suis très heureuse de vous donner de mes nouvelles, Je suis très bien. J'aimerais bien que vous veniez faire une petite visite à Vussar pour la première fois. L'école est récomimencée. J'ai- me bien cela y aller. J'étudié bien mes.Jeçons tous les soirs en arri- vant de l’école, Je suis une’ aspi- rante Croisée, ; si vous.
ettres sur la “Liber
Eh bien! je pense que ça va être assez. Je vous donne un gros, gros, gros bec, :
Une petite-fille qui prié pour
vous, Anita LAVALLEE, + + +
Vassar, Man. le 22 janvier 1941, Chère Mère-Grand,
Je vous écris pour vous dire que j'ai passé des belles vacances.
J'ai eu un beau présent du père Noël, et aussi un arbre qui a été donné par nos bonnes Soeurs.
Dans noîre classe on a encore des décorations de Noël, On a mis des rideaux dans nos fenêtres et on a arrangé notre classe avec des portraits dé Notre-Seigneur, et des beaux calendriers de 1941. Je vous envoie mes meilleurs sou- haïits pour une bonne et sainte année 1941,
De votre enfant,
Dora + Sairit-Adoïlphe, Man. : le 24 janvier 1941. Chère Mère-Grand,
C'est la première fois que je vous .écris. J'ai neuf ans et je suis au grade quatre. 11 y a un élève de notre classe qui a été à l'hôpitäl mais il est revenu main- tenant, Nous sommes vingt-qua- tre élèves et 21 croisés dans notre classe, Je suis un: èhef d'équipe et j'aime bien cela.
Nous avons une patinoire et une glissade dans la cour du cou- vent, J'aime bien à patiner et à glisser, J'ai commencé à patiner
HEBERT. + +
sept qui l'a fait. ;
Je vous souhaite uñe bonne et heureuse année quand bièn même il est un peu tard. J'espère que vous êtes en bonne santé.
Votre petite-fille,
Noëlla LECLAIRE, —Grade IV. + + + Sandilands, Man, ete Tea Chère Mère-Grand, ;
J'ai beaucoup entendu. parler
de.vous, on m'a dit que vous ai:
pourquoi je suis contente de vous écrire cette petite lettre.
Je n'ai que huit ans et je vais à l'ecole réguliérement, Je suis dans le grade trois; j'aime beau- coup ma maîtresse et elle aussi nous aime beaucoup. Je dois vous dire aussi que j'ai une belle pe- tite soeur qui n’a seulement qu'un mois: elle s'appelle Diane.Elle a les yeux bleus et les cheveux bruns frisés. Depuis que nous a- vons ce petit bébé, je ne joue plus avec mA poupée,
Au revoir, chère Mèr:-Grand,
De votre petite-fille qui vous écrit pour la premiére. fois, Hermine FREYNET, 4 + + Sandilands, Man. le 31 janvier 1941. Chère Mère-Grand,
Je suis bien intéressée dans le “Coin des Jeunes” et j'aime bien vous écrire. Je continue à aller à l’école et j'aime bien cêla. Ma pe- tite soeur, Béatrice, commencera à Pâques. Elle a bien hâte de vous écrire. ss
Ma petite soeur Yolande com- mence à parler et elle peut mar- cher, C'est ma soeur et moi qui rentrons le bois et l'eau puisque nous n'avons qu'ün seul petit frère de deux ans. Il fait bien beau ici à Sandilands. Nous avons fait un bonhomme de neîge cette semaine. '
Je vais fermer ma lettre pufs qu'il faut que j'apprenne mes le- 1 fill
e votre petite-fille, À Denise FREYNET,
tes cet:hiver; hous avons’un gros banc de neige en arrivant à l'é-
cole, :: pe de suis. onnaire au couvent
janvier 1941, à
etfine
r =
Nous avons. passé de bonnes vacances de Noël. Toule la famil- le a demandé la bénédiction à mon grand-père le jour de l'an,
Votre petite-fille
Carmelle PARENT, + + + J Saint-Joseph, Man, lé 31 janvier 1941. Chère Mère-Grand,
J'aime bien cela vous ‘écrire,
chère Mère-Grand. Mon. grand frère Léonard est parti à Otter- burne, Ça fait quatre fois qu'il nous écrit, Maman, Jeanne et Léonide lui ont écrit hier soir, Il va être content d'avoir des nou- velles de la famille, . Mon petit frère, Henri, qui n'a que dix mois marche et grimpe dans les escaliers."Hier soir il est mouté jusqu'au haut, 1 a roulé en bas et s’est fait bien mal, :
Votre petite-fille qui vous aime beaucoup, | Pope
Irène DELORME. Grade IIL, ë “xd
—Que fais-tu là, môn petit? —Je prends ‘des. Îles, Monsieur, 114 —Combien en as-tu déjà? —Quand j'aurai celle que je guette et puis encore une, j'en .
aurai deux. L1
(A
Le professeur, — Savez - vous qu'à votre âge Washington était à la tête de sa classe? :
L'éiève-Oui, et: quand il avait votre âge, il était président des Etats-Unis, ,
Consisérés ire des “objectifs militaires”. par les aviateurs allemands, ces petits enfants om
été évacués de Londres et vivent maintenant dans la paix d'un refuge à la
campagne, loin des bombes
_
vous aime, ‘
L]
2
+ PE nl Lu, 2 nd. Prix PM LU AA à ‘à à ÿ 7, PET di ky e k : / À ; it RSA « n ; gi er u « Pa. 7 - i U K è * d , + 4 a : 1 , n …. s * e F # 4 \ à ‘ & « ñ , "” = 0 É-A si ps k s . " LA
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Mess és Conén Det Ar, Armstrong et à l'est).
Tousles jours
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ilippe, dont le visage s'était
, contracté, demeurait
figé, comme stupide, ne pouvant à ce qu'il venait d’enten-
pra s cet ‘allié Jui tombait du ciel,
unes gens pays, sans doute? —Süûrement solennel- lement Me Le Gal, Ab... à dire
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3, Ave, du Portage Téléphone 22 14
rover Suns! , ‘ous mn frernis
font sa toilette, ù
mière princesse prête, à quitter sa prisnr,
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&
Ça n'aurait pas été plus uti Voilà qui va À eg at-
‘chaud, attaquer le jeu- . immédiatement pen-
que ce serait d'une - maladroite brutalité:
“S'il se cabre dans un ‘ultime sursaut de répugnance, muürmu- ra-t-elle, je ne pourrais plus que très difficilement reprendre Ja question par la suite,
Puis, y ayant réfléchi davan- tage, elle arriva à une conclusion diamétralement opposée.
Non! il faut au contraire que j'attaque tout de suite! Parce que c'est en ce moment qu'il résistera le moins! Il: est ému, déchiré, trahi, il ne voit autour de lui qu'une seule main amie: la mien- ne! Donc, il la prendra sans faire grande” difficulté! Quant à être tenté de se reprendre plus tard, il se peut qué Ça lui arrive! Seu- lement, il y a gros à parier qu'il n'osera pas! Il oura peur de me faire’un chagrin fou...
Elle venait à peine de se dé- cider à agir sans délai, qu’elle entendit le pas du jeune homme résonner dans le couloir,
“Il va s'enfermer chez lui, se dit-elle, C'est bon! Dans une demi-heure, j'irai frapper à sa porte et lui demander ce qu'il devient! Et nous verrons bien...
Mais, à sa grande surprise, le pas ne s'arrêta pas devant la por- te et continua de s'approcher,
—Viendrait-il ici? s’écria-t-elle à voix basse,
Au même instant, elle l’entendit frapper.
—Entrez!- cria-t-elle,
IL entra, et à l'expression ré- solue de son visage pâle et défait, elle comprit qu'il venait lui aussi d'arrêter quelque importante. dé- cision,
si je savais
où la L:
—Eh bien! alors? demanda‘t-i,
interdit, . Mais elle se détourna à véau, d'un air cofifus et ne ré- pondit pas. ; RAM) Philippe était À présent assez intrigué, et il ne pouvait Heviner le motif des minauderies de la femme, Car's'il y avait®
au qui ne t HAE Voie À lan que Mary as avoir envie de porter
quoi vous ne voulez ce dont il s'agit!
Mary lui coula un fapidé re- gard oblique par dessus son é- paule, vit qu'il paraissait réélle- ment ne pas comprendre, et ur- mura enfin d'une voix étouffée:
—C'est drôle comme les hom- mes les plus intelligents peuvent être, par moments, dénués de la plus élémentaire pénétration...
Cette phrase sibylline acheva de le plonger dans le désarroi:
—Mon Dieu! Mary, éxpliquez- vous! Je suis peut-être fort sot! mais en effet, je ne comprends pas!
Pour toute réponsé, celle se contenta de détourner plus én- core son visage, qu'elle: inclina subitement sur sa poitrine,
Et le jeune homme s'étant aus- sitôt penché sur elle, il vit qu'el- le pleurait!
Alors, consterné, il l’attira à lui!
—Mary! chère Mary! Qu'est-ce
pas me dire
Les boutons causent bien ennuis
La vie de,bien des jeunes gens est empoisonnée par l'apparition disgra- cieuse de ‘boutons sur la figure, le cou ou autres endroits du corps.
Ce west pas tant une souffrante phykique qu'une souffrance mentale causée par eet enlaidissement gé- nant; bien souvent, la personne af- ee craint de se montrer en pu-
rA
Vous vous débarrasseres rapide- ment de ces boutons en chassant tou- te impureté du sang, ce qui amélio- rera votre santé générale.
“‘Burdock Blood Bitters'’ purifie lé sang. Débarrassez-vous de vos boutons par l'emploi de B.B.B.
The T. Milburn Co., Ltd. Toronto, Ont.
-{pertance, car,
Qué 4 tiyne-MèrTE 6al Partie sans re % Elles tui offrent du’miel, la caressent, lui .3, En quelques minutes: la Princesse se seul les abeiles-nourrices aident la pre-
$ tout à fait forte, et la même fureur que celle de la Reine-Mère la saisit envers ses
soeurs encore enfermées .,,
‘ res
si
Je ne vois pas du tout pour- >
- Est-il utile de vous répon-|e
dre? fit-elle. d'une voix tremblan-
Il se leva alors, et, tandis qu'el-
le demeurait les yeux fixés sur.
lui, comme une bête fauve sur la proie dont elle va se saisir, il fit quelques pas hésitants dans la
Un tourbillon d'idées et de sen- timents contradictoires bouillon-
dans sa tête, et c'était en.
1 essayait d'y voir clair. toujours Anne, certes,
mais elle était perdue sans retour, Et il ne pouvait du réste plus la regretter depuis cé qu’il venait d'apprendre, D'autre part, il fau- drait bien un jour qu'il se ma- riât, et il en avait d'ailleurs l’in- téntion! Alors, pourquoi ne pren-
pourrait arriver à l'aimer avec le temps’ Décidément, il fallait faire cela! C'était senÿé, sage, pru-
dent... (A suivre) Vient de paraître
“Je vais être Mère’’
Conseils aux futures mamans par le Dr Jacques FORTIER
La période si critique et si lourde ,de conséquences de la grossesse, pour la jeune maman en particulier, méritait bien d’é- tre l’objet d'une étude tout à fait spéciale. Elle nous est apportée par un spécialiste fort connu, le Dr Jacques Fortier, assistant professeur à la chaire d’obstétri- que de l'Université de Montréal, qui vient de publier des conseils aux futures mères, sous le titre “Je vais être Mère”, que publient les Editions Bernard Valiquette,
Dans un fort volume de 340 pages desservi par une biblio- graphie importante, un glossaire et un index alphabétique qui se- ront utiles au lecteur, l’auteur a réuni dans un style clair et pré- cis les problèmes auxquels doit faire face la future maman, Il fait un exposé élaboré des dif- férentes époques de la vie dela femme et y traite en particulier de Ja méthode d'Ogino-Knaus dont ii facilite la compréhension à l'aide de dessins linéaires dont la clef est mise à la portée de tous.
L'eugénisme, l'examen présup-
tial, l'état, l'hygiène et la patho- logie de la grossesse y sont trai- tés dans trois des principaux chapitres. On Y trouve des sug- gestions très pratiques en vue de prévenir certains malaises et ces suggestions seront d'une grande utilité pour le praticien auquel elles s'adressent plus particuliè- rement, autant que pour l'entou- rage de la future maman, . Un chapitre est consacré À l'examen et au questionnaire de la ‘cliente que l'auteur met en prèsence du médecin. D'autres chapitres sont réservés à l'ac- couchement, à l’anestfésie, aux soins postnataux, etc. Ce dernier chapitre est de la plus haute. im- lorsque l'enfant est né, on se préoccupe beaucoup moins de Ja mère que de l'en- fant, Ceci est une wrave erreur dont les conséquences peuvent être fatales.
Ce volume “Je vais être Mère” est un livre précis qui expose, simplement, les questions et les problèmes qui se posent chaque jour. C'est un livre que chaque fatuille devrait posséder, 1 est en vente au prix de $1.50, aux Edi- tions Bernard Valiquette, 1364, rue Saint-Denis, à Montréal, aihsi que dans toutes les bonnes librai- riés.
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but d'obtenir de meilleures conditions d’achat.
ce sérait aussi un excellent moyen d’avoir plus de garanties quant à la qualité des produits qu'ils acquiérent, Cent mille cultive- teurs, offrant un même produit, également bien préparé ou désirant acheter }a même marchandise, peuvent certainement protéger ayantageusement gors este
Les premiers efforts de coopération agricole datent d'assez loin, Le besoin les à inspirés. Toutes les organisations mises sur pied n’ont pas connu le succés, 11 y eût une période de tâton- nement, Notre peu d'expérience pratique fut une des causes de la lenteur du mouvement. Ce fut une période pauvre en résultats mais riche en ex- périence. Elle a préparé les développements aux: quels nous assistons aujourd'hui.
- Le nombre des coopératives agricoles s'ac-
croit sans cesse depuis quelques années. ‘ Elles
montrent des résultats intéressants et font preuve d'une grande viabilité. Elles progressent pour le plus grand bien de l’agriculture, Que ce soît dans le domaine de la production ou de la classification, de la transformation ou de la vente des produits de la ferme, des faits existent et prouvent que les
‘coopératives constituent un élément du progrès,
“D'une façon générale, elles ont aidé à amé- liorer la quantité et le volume des productions agricoles par la diffusion:des méthodes techni- ques qui ont permis une meilleure compréhension du problème rural: L'amélioration dans la qua:
lité de nos produits en général a suivi la courbe
[es Fist
pile capital nécessaire À la finance
de toutes À earepries coopératives. dont ‘tous
À notre humble avis, les sociétés coopératives de crédit doivent étre miser sur le même plan
. quant à leur nécessité et à leur opportunité
les sociétés coopératives d'achat et de vente, ‘A la base de toute organigätion éconoiniaue doit
se trouver une coopérative de crédit car c'est elle: $*: . qui fournira le capital aux autres organismes, Le. |. crédit joue, dans la vie économique d'un peuple, . :f° un rôle qui nous est bien difficile d'ignorer puis-
qu'il est à le-base de tout. C'est un des facteurs |: plus puissants de sommerciale et'in- +. Hietié "AT mOt Re: doit”
elle besoin, une
ive é W | dans Ja voie du relèvement -économique, LR
‘I est impossible qu'un cultivateur travaillant seul puisse faire beaucoup pour le, pt l'agriculture. ‘Mais si, au contraire, dix mille,cént mille agriculteurs unissent leurs efforts, ’ J lent en :coopéralion, avisent sur les moyens 4 prendre et adoptent une ligne de conduite uriie forme, le problème agricole sera vite résolu,
ILest étrange, curieux même, que les cultiva- teurs vivant éloignés les uns des autres sur:leurs fermes ne chérchent pas à s'unir en une puissante association, 11 est regrettable que l'individualis- ie, l'égoisme et la mésentente ne fassent plus rapidement place à l'esprit de coopération él d'entraide. s
On peut comparer les forces et les transfore mations qu'apporteront à notre agriculture 14 coopération bien comprise et bien pratiquée & celles qu'apporte l'électricité qui illumine nos villes et développe nos industries,
Puisse une méilleure compréhension de teur intérêt amener tous nos cultivateurs à cesser de s'entre ruiner en associant leurs efforts vers un ” idéal commun! 4
le, progrès .de {|
L'effet de la nourriture sur la composition des oeufs
L'oeuf de la poule est l'un des meilleurs aliments “protecteurs”. De tous les asiimaux de la ferme, à l'exception peut-être de la va- che laitière, il n’en est aucun qui fasse preuve d'une plus grande habileté que la pole pour con- vertir les matières premières en produits alimentaires, dit le Dr E. M. Cruckshank, spécialiste an- glais, IL a été démontré par des recherches récentes que l'on peut, par certaines nourritures apbro- priées, modifier la composition chimique de l'oeuf, de même que la proportion de vitamines qu'il renferme et sa puissance d'éclo- sion, La grosseur de l'oeuf est surtout un caractère héréditaire, mais le goût de l'oeuf et la cou- leur du jaune sont infiuencés par les aliments consommés, Donnés en trop grande quantité les tiges d'oignons, les navets et la fari- né de poisson communiquent au jaune un goût désagréable,
© Len poules renfermées: " différence dans-les oeufs
Les poules renfermées et nour- ries de’grains de céréales, comme l'avoine, le blé et leurs sous-pro- duits, pondent des oeufs. dont le jaune a yme couleur pâle, mais cette couleur devient rapidement
plus foncée chez les poules qui
courent sar. l'herbe ou qui sont nourrie£ de blé d'inde jaune, de luzerne séchée et d'aliments de ce gere, La wmalière grasse esf
un des éléments de l'oeuf qui est.
le plus affecté par la nourriture, pas tant peul-êtré, en ce qui con:
sition chimique, qui peut varier grandement avec le genre de ma- tière grasse ‘donné dans la ra- tion.
6 La compétition : jaune de l'oeuf
Avec l'exception de traces qui se rencontrent dans le blanc, toute la matière grasse de l'oeuf est concentrée dans le jaune où elle est présente sous forme d’une émulsion, Il y a deux genres de matières grasses dans l'oeuf: (1) graisse neutré et _(2} graisse phosphorisée. Un autre élément du jaune est le cholestrole, dont la présence est importante parce qu'il s'associe intimement à la vi- tamine D, La proportion de vita- mine D que renferme un oeuf dépend des sources de cette vita- mine que la poule reçoit dons «a nourriture. Lorsque. les. poules
sont: tenues renfermées, lu vita-|
mine D est généralement fournie sous forme d'huie de foie de mo- rue; Lôrsqu'elles sont sur un li- bre parcours, elle est formée par l'action des raÿons ultra-violets du soleil sur leurs corps; il n'est donc plus nécessaire dans re cas 2 leur ‘donner eg ner 4
s leur nourriture, poules ayant accès à un péturage her- beux (ef en-même temps à la lu- mière du soleil) produisent des seufs dix foix plus riches én vi- famine D.que les poules recevant lacméme ration, mais tenues ren- fermées,, En donnant des ali- ments concéntrés riches en vita- mine D à ces dernières, on peuf
tions de cette vitamine dans le jaune. F ; La quantité de matières miné- rales que renferme le blanc de l'oeuf est. relativement faible, tandis que le jaune contient tous les” éléments nécessaires pour la formation du sank, des os et des tissus fu corps animal, Le jaune, comparé aux autres aliments est relativement riche en: composés ferriques, qui paraissent être sous une forme aisément assimilable. RS
Taches de peinture Sts-les viires
IL ne faut pas les gratter avec un Couleau, ce qui risquerait: de rayer-.le. verre, mais les imbiber
\'alcoo! à brûler ou d'essence de
térébenthine ou de benzine, pour ramollir la peinture qu'il suffit ensuite-de-gratter avec un mor- ceau de bois.
Une respiration sifflante l: indique la bronchite
Le principal syniptôme de la bronchite: esi une toux dure, irritante, accompagnée ne respiration rapide et ent me à | : et d'une sensation de serreme la nolfipe.. "(AN APE 11 y à a:ssi expecioralôn flegmc, particuliérement le matit, ‘
-Ce flegrme est tout d'abord clair,
mais à que Le mal | se, il devient jaunätre ou v re, FR gas ne même satguino-
b ge" irritécs, ‘dég le es pariies lécs, 1 4 flegme et le mucits, et pm ei la nature à se défaire de cette accumulation morbide,
cerne la quantité que la cotmpo- "obtenir de trés fortes Propor- | The T. Milburs Co. Lid, Toronte, Ont,
s br # l'infammation, calmer 2
"| Le fameux violoniste polonais :|Bronisiiw Huberman, qui fait en ce moment une tournée-du Cana- da sous les auspices des “Cele- brity LONN se fera entendre à: Winnipeg, à l'Auditorium, le lundi soir 17 février, Avant la guerre, il donna des concerts en France, en Belgique, en Hollande te fut l'un ch 0 sg US de quitter rope; Sa tournée nuire Canada est sous le distingué pa- re C6”. AL du ho chgix “el 924 général e
On annonce que Mme F. West- man organise uné soirée récréa- tive au profit de la socièté “Fran- ce Quand Même”, La soirée aura lieu le samedi 22 février, au Fra- vellers Hal, 283; avenue Banna- tyne, à 8 h.
Jl y aura danse, goûter et ra- fraichissements. L'on pèut se pro- curer dés billets en s'adressant à Mme W'estman, tél. 21 289.
Qu'on se le dise et que l'on vienne s'amuser tout en. encou- rageant une ocuvre méritoire,
D ————
P +- Le mardi 4 février dernier, à
la salle “Notre-Dame” de, l'AC. JF. avait lieu l'assemblée men-
Une
‘[suelle de 12 Fédération.
Une très nombreuse assistance s'y pressait, Mme P.-L. L'Heu-
reux, présidente d'honneur de la
“ftion
polonais en Angleterre et des sol- dais polonais intérnés en Suisse. Hubermian est jugé par tous les critiques comme le plus brillant ét le plus remarquable des vio- lonistes d'aujourd'hui. Son pro- gramme de Winnipeg compren- dra: Hacndsl: Sonate en ré majeur, ave accompagnement dé” plano. César Franck: Sonate en la majeur pour piano et: violon. Mendelssohn: Concerto de vio- lon en mi mineur, op. 64, 1 Srymanowski: La Fontaine d’Aréthuse, op. 30. ù Chopin - Huberman : * op. 7 No 3. Chopin-Huberman : 70 No 1.
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OUR le bien de votre santé,
ÿt se co
Fédération, avait bien consenti à adresser. la parole aux mem- bres. . Elle choisit pour sujet: “L’explication_ des constitutinns de la Fédération”. Sujet très in- téressant et qui captiva l’atten- de tout auditoire. Mme
,; Comme toujours, sut ilier tous les esprits, entre antres choses, Mme la présiden- te d'honneur nous cita ces paro- les: “Pour nous conformer, aux slatuts de notre Charte, nous nous sommes laticées dans toutes les activités qui nous ont permis d'écrire les glorieuses pages de notre histoire depuis quinze ans” Puis elle termina par ces mots: “Mesdames, expliquer la constitu- tion et les réglements d'une s0- ciété est un sujet aride, ne me blâmez pas, je n'ai fait que céder à l'invitation de Mme la prési- dente; à elle aussi est. due la li- mitce du temp;s une demi-heure”. Heureuse pensée, Mesdames, par- ce que dans l'amour de ma socié- té comme dans l’enthoüsiasme de mon patriotisme, j'aurais pu m'oublier.,
“En ces temps de bouleverse- ments mondiaux, où la haine, la jalousie, l'ambition semblent ré- gner en maître, quel bel exemple de charité chrétienne nous pour- rions donner, du moins autour de nous! Que nous serions fortes pour la lutte, quel bien nous paur- rioys faire si toutes les Canadien- nes françaises de nos deux villes étaient unies sous la belle et noble devise de la Fédération des Femmes Canadiennes frañçaises : “Four-netre foi, notre langue et nos foyers”,
Mme Degagné, présidente, pré-
ne
Une aide pour ceux qui ont passé!
L'Heu
Les homnes et les femimes qui ont passé la D me He S sentent décli- ner, leur énergie et leur activité, Leur vitalité générale est aussi moins vigoureuse.
H semble plus difficile alors de se libérer des petits malaises où mala dies et, ici et là, la dépression com- mence À se faire sentir.
Four tous ceux qui veulent garder santé et vigueur et maintenir leur | énérgie intacte c'est te moment de! suivre un traitement de ** Milburn 's | Héalti nad Nerve Pile! |
Elles revigorent et stimulent l'or | gauisme et retardent la déerépitude cousée par l'âge The T, Milburp Co. Lid, Toronto. Ont }.
Vendredi soir 14 février, à 7 h. 30, après la nenvaine perpétuel- le de: Notre-Dame des Le de il v.oura, à l'église, Ja d'ha- bit d'une vingtaine de Tertiaires Servites de Marie;
—— 2-2 5-2— PETITE NOTE
Mme A. Rhéaume est de retour d'un: voyage de, quelques :semai- nes dans l'Est. Elle a visité son gendre et sa fille, Me et Mme Paul
ci b du Sacré-Coeur
ne 2 |
LIGUE DE DIX QUILLES
Roblin Hotel Western Paint . Soc. St-Jean- Jose Taché. .: à Can. Publishers Provencher * Club Sacré-Coeur 726 Canadiens 712
Haute partie: Ce Bruyère, 209.
Hautes 3 parties, J. Gauthier, 554.
761 782 756 727 792 811
1301 0! de C0 © 10
Ligue de quilles des dames
Position des v… Equipe Chaput Equipe La Flèche Equipe Newman Equipe Audet
Haute partie de la semaine, Mme Asselin, 267; hautes deux parties, Mme Asselin, 386.
Mnyennes Mme J. Assélin - : Mmé Aubin
Mme Préfontaine
Mme P.-E. La Flèche ..
. 171
Mme Côté
Ê
Ja cinquantaine |
L'acteur ‘canadien aan Massey, qui interprétera lé rôle orincipal dans “This Preciqus | Freédom”, le dimanche 16 juiiet, à Hadio-Crnada, dans la série du "Fhéètre de la Liberté”,
Chorale Sainte-Marie Une réunion spéciale des mem- bres de la Chorale a eu lièu di- mahche : dernier, Vingt-quatre membres étaient présents. La |soiréé se passa à no amusements divers æt partie Mles M.-3, ere Cécile Gagné, VE Laforest gagnérent les prix des damès. Se partagèrent les prix des hommes: MM, F. Lafrenière, F, Leblanc, T, Leblanc # Victor Cormiez.
pos
lehorale et à qui nous disons ici (re notre ‘gratitude.
Les élections donnèrent les ré- sultats suivants: président, F. La. frenière; vice-présidente, Mlle T, Laforest; secrétaire, Mile T, Jal- bert; directeur, M. E. Grimaell,
Prochain mariage M. et Mme Y. Belluz annoncent les fiançailles de leur fille, Rita, avec M. Nelson Green, dé Winni- peg. Le mariage sera célébré en l'érlise Sainte-Marie, le 23 * fé- vrier.
Dames de Sainte-Anne Tes Dames de Sainte-Anne or- ganisent une grande partie de Cartes qui aura lieu à la salle de l'école le 13 du courant.
Ecole Sainte-Marie
Notre école catholique à com- mencé une campagne chez les é- coliers pour la vente des Timbres de guerre. Tout s'annonce bien. Une grande activité règne dans lés divers groupes. Déjà on aceu- se un succès intéressant. Les-or- gdanisateurs comptent sur le con- cours des parents pour réaliser up montant qui fasse honneur à notre école.
Voilà une excellente occasion d'enscigner l'épargne à nds jeu- nes et de leur instiller en même temps un peu de patriotisme, Sa- thons en profiter.
En visite
Mile Blanche Saint-Amant, de Saint-Jean-Baptiste, Man, est ac- tuellement en visite chez M, et Mme John Linechan, Troisième rue Ouest.
Malades
Mme E; Turgeon, souffrant de- puis quelque temps, est allée con- sulter un spécialiste à Winnipeg. Sa fille, Mme G. Miller, l'accom- pagne, Nos meilleurs voeux de santé.
Mile Sophie Craig, qui a été malade quelques jours à l'hôpital O'Donnell, est retournée à son foyer, à Emo, Ont,
Dames de l'Autel Le bingo donné par les dames e T'Aïéel, 1€ 3 février, à rempor- té un franc succès. Mmes M. Mil- À, D, Lucas, E; Cousineau et
F. A. Hart en étaient les orgoni- satrices,
|! Naissañces ; 125, 3e rue Est,
A M. et Mme Arnold Frénette, un fils, né le 3; février. *
À NL et Mme Bernard Gagné, à l'hôpital: O'Dônnell, un fils né le 31 janvier.
2-2 ——
Quand vous faites af-
‘[layeurs de mines,
[re
faire avec nos annonceurs | mentionnez la ‘‘Liberté””, là travailler en liaison avec la!
+] EH
Pointures 6 à 12, largeurs variées.
LA PAIRE
“Made-to-Measure Shop”, Hargra
WINNIPEG
Part de plus en plus pro du Canada à la guerre ee”
LONDRES — Le nouveau com- mandaänt de la marine canadicn- ne en Grande-Bretagñe, le com- modore L. W, Mufray, a annoncé que le nombredes unités cana- diennes opérant dans les eaux an- glaises sera peut-être quadruplé au printemps. Les unités que l’on ajoutera aux contre-torpilleurs canadiens qui se trouvent déjà dans les eaux anglaises et qui ent fait de Vexcellent travail, au té- moignage des officiers de marine anglais, seront pour la plupart des corvettés chargées de la chas- se aux sous-marins et des ba- Les chantiers navals du Canada auront déjà construit une cinquantaine de ces petits navires au moment où le Saint-Laurent scra libre de glace et l’on peut s'attendre à ce que la moitié de ces nouvelles unités trrversent l'Atlantique, a déclaré | le commodore Murray.
Rôle du Canada
Au cours de l'entrevue qu'il a acevrdée aux journalistes cana- diens et. anglais, Je commodore Mutray a souligné la part de plus en plus importante que joue le Canada dans là guerre navale et il à promis qu'it ferait en sorte que le ‘Canada füt convenable- ment renscigné sur les activités le su marine de guerre. On n'a! jamais au €oûrs de Ia derniére | güerre fait 1 publicité qui con- venait à là marine de: gusrre ca- nadienne let €est celle erreur, dit-il, qui esplique que notre ma-
pe: de FE 2e HSE
flotte anglaise, mais que l'on tient à ce qu’ils constituent une en- tité distinicte. Il a révélé que 420 officiers de la réserve navale ca- nadienne ? sérvent actuellement dans la marine anglaise pour y acquérir de l'expérience, qu'il se trouve àu moins uni de ces. offi-
ciers canddiens à bord de preés- |"
que tous Mes navires de guerre anglais, que l'un d'entre eux « malheureusement été tué au cours du récent combat de l'Ajax en Méditerranée, 11 y aura biéntôt également en Angleterre un dé- pôt de la marine canadienne où les recrues: pourront suivre ‘des cours sbéciaux, Le: navire-amiral du commodore Murray sera: le contre -torpilleur “Assiniboine,” mais il établira un quartier géné- rat à. terre dans le port anglais qui sera le plus utilisé par les na- vires de guerre canadiens.
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| |Le successeur de M- Sirois
OTTAWA — On commence 4 parler à Ottawa dy suecesseur de feu le notaire Joseph Sirois à"la présidence-de la cormmission ; fé- dé rale d'assurance-chômage, On mentionné plusieurs noms et l'on note en particulier. que le futur président sérait en toute vrai: semblance un Canadien français. | La rumeur veut que la pré
rine a été réduite pratiquement :
à rien après la guerre,
Le commodore Murray a cnco- déclaré que les navires 4e
| guèrre .cthadiens- continucraient :
aille soit à f'hon IE. Pe actuellement membre de la € mission internationale des ponts soit à M. Georges Vanier, min tre du Canada à Paris jusqu'à “à capifulation de la France, * On pense. que le premier: ministré Mackenzie King annoncera 1e nom du successeur du notaire Si: rois peu aprés la rentrée .des Charvbres qui aura lieu le 17 fé- vrier prochain. 7